décembre 2009
Archive mensuelle
Archive mensuelle
Créé par torderes le 28 déc 2009 | Dans : Carnet de deuil
Jozef Gestels, peintre, sculpteur et chantre de la Catalogne, est décédé dans la soirée du samedi 26 décembre 2009, à l’âge de 87 ans.
Depuis 1973, date à laquelle il avait acheté un terrain à Tordères, chemin du Lieutenant Gourbault, il s’intéressait énormément à l’histoire de notre commune et des Aspres. Venu des lointaines terres flamandes de Rumst, dans la province d’Anvers, il vouait une véritable passion à Guifred El Pelut, le grand fondateur de la Catalogne, et s’était si bien attaché à notre village qu’il ne l’avait plus quitté depuis 27 ans! Quelques-unes de ses toiles, dont il avait fait don à la commune, se trouvent à la mairie et à l’église. On lui doit notamment un très beau portrait de Joseph Noé qui fut maire de Tordères pendant plus de trente ans.
En ces heures douloureuses, le Conseil Municipal et moi-même tenons à adresser nos plus sincères condoléances à son épouse, Angéla, ainsi qu’à ses enfants et à ses proches.
La cérémonie d’adieu se déroulera mercredi 30 décembre, à 9h30, au Crématorium de Canet. Ni fleurs ni couronnes, merci.
Maya Lesné, pour le Conseil Municipal
Créé par torderes le 27 déc 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement, Infos pratiques, Santé
Les déchets d’activités de soins (DASRI) sont les déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et de traitement préventif, curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire. Ils sont considérés comme dangereux, car ils présentent différents risques infectieux, chimiques, toxiques, etc.
Les pathologies les plus connues comme étant productrices de déchets d’activités de soins à risques infectieux sont le diabète (2/3 de la production de DASRI des particuliers), les hépatites, la sclérose en plaques, les troubles thromboemboliques.
L’association Déchets de soins 66 a décidé de créer une filière raisonnée pour que plus aucune aiguille ne se retrouve sur la voie publique, dans nos ordures ménagères ou sur la chaîne de tri. Pour l’instant, dans les zones équipées, votre pharmacien vous remettra gratuitement des boîtes jaunes, à double fermeture, pour une collecte à domicile en toute sécurité, et vous pourrez les rapporter dans les points de collecte ADS66 (déchetteries de Prats-de-Mollo, St-Laurent-de- Cerdans, Arles-sur-Tech, Thuir, Trouillas et Montescot, ainsi que le laboratoire d’analyses médicales de Céret, et très prochainement le centre du Vallespir au Boulou).
ADS 66, 7 place des Deux Catalognes, 66180 Villeneuve de la Raho – Tél/fax : 04.68.81.59.56 – Email : technique@ads66.fr – Site Internet : http://www.ads66.fr
Créé par torderes le 24 déc 2009 | Dans : Fêtes et animations
Le dimanche 20 décembre, la petite fête de Noël du village, organisée par l’association “Tordères en Fête” en partenariat avec la mairie, a réuni une trentaine d’enfants et d’ados et au moins autant d’adultes.
Le grand magicien Gaby Radhja, réinvité à la demande générale pour la seconde fois à Tordères, a fait son entrée en scène sous les cris de joie et d’encouragement d’un public enthousiaste. Pendant trois quarts d’heure, les tours les plus époustouflants et les plus drôles se sont succédés, avec l’aide de très sérieux assistants, comme Marie-José, Elsa, Thymothée, Jordan, Hugo, etc.
Attiré par la magie et les chants de Noël, le Père Noël en personne nous a rendu visite, un peu en avance certes, mais dans l’enthousiasme général. Sa corbeille était pleine de surprises et il avait, bien sûr, pensé à tout le monde, de notre benjamin, Titouan (11 jours à peine!), aux plus grands, tout le monde a eu droit à son petit paquet de friandises et à son gros bisou!
La distribution terminée, notre petit Papa Noël nous a salué avant de filer vers d’autres contrées, dans un grand ciel d’azur et sous un beau soleil d’hiver, mais rares ont été ceux qui l’ont vraiment vu s’envoler car chacun était trop occupé à savourer le goûter de Noël et notamment une multitude de gâteaux tous plus beaux les uns que les autres. Un vertige de chocolat, d’amitié et de magie!
Créé par torderes le 16 déc 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques
La Préfecture communique :
Les prévisions météorologiques font ressortir depuis dimanche 13 décembre une période de froid plus prononcé sur le département qui débouchera sur des températures ressenties négatives (action conjuguée de la température et du vent) les nuits prochaines. Une vigilance accrue doit être portée auprès des personnes marginalisées et isolées installées dans des abris de fortune.
Les centres d’hébergement d’urgence sont mobilisés dans chaque arrondissement :
- arrondissement de Perpignan jusqu’à 77 places d’hébergement d’urgence. Un dispositif d’abri de nuit est également mobilisé par l’association le Tremplin
- arrondissement de Céret jusqu’à 29 places d’hébergement d’urgence (18 à Banyuls sur Mer et 11 à Céret) et 6 places en hôtel (4 à Amélie les Bains, 2 à Argelès sur Mer)
- arrondissement de Prades jusqu’à 5 places d’hébergement d’urgence (association Sesame) et 3 places au centre de rééducation fonctionnelle des Escaldes.
Un dispositif de transport de nuit est activé sur les arrondissements de Prades et Céret pour acheminer les personnes sans-abri vers les centres d’hébergement d’urgence. Ces places et le dispositif de transport de nuit sont disponibles par le numéro d’appel 115.
Une grande vigilance doit être maintenue concernant les personnes isolées dont un certain nombre refusent parfois toute aide ou hébergement qui les met en situation de danger potentiel.
Si les personnes refusent d’être mises à l’abri alors qu’elles semblent être en danger, il appartient aux agents entrés en leur contact d’user, dans un premier temps, de toute leur persuasion et en cas d’échec, de prévenir le SAMU (n°15) qui mobilise les moyens appropriés afin d’évaluer la situation médicale et apprécie la nécessité de la faire hospitaliser. L’obligation d’assistance à personne en danger est appréciée par les acteurs de terrain en lien avec le médecin régulateur du SAMU.
Numéros à appeler : le 115 pour une demande d’hébergement ou de transport – le 15 en cas de détresse vitale.
Créé par torderes le 14 déc 2009 | Dans : A retenir, Carnet rose, bleu et blanc
Un nouveau petit Tordérenc (le 178ème!), Titouan, a vu le jour mercredi 9 décembre. Avec ses 3,3 kilos, il se porte à merveille. Inutile de vous dire que Véronique Bardet et Bruno Morin, ses heureux parents, naviguent depuis presque une semaine sur un petit nuage de ravissement. Que ce bonheur poursuive toute la vie nos deux amoureux et leur petit Titouan! Félicitations!
Créé par torderes le 12 déc 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Environnement, Equipe municipale et commissions, Histoire, Infos pratiques
MOTION relative aux PPRIF dans le massif de l’Aspre
Tordères, le 25 novembre 2009
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Le Collectif des Maires de l’Aspre s’est réuni à Llauro, le lundi 9 novembre 2009 et, en comité restreint, à Tordères, le mercredi 25 novembre 2009, pour des séances de travail relatives à l’élaboration des PPRIF dans le massif de l’Aspre. Suite à ces réunions, le collectif tient à vous faire part de ses inquiétudes et de ses réticences vis-à-vis des orientations données aux PPRIF en cours dans notre massif. Ces mêmes réserves et interrogations peuvent être étendues à l’ensemble des PPRIF à venir dans l’Aspre et, plus largement, dans notre département.
Le Collectif tient à vous faire part de ses positions :
EN CE QUI CONCERNE LE ZONAGE :
- Il faudrait réétudier les cartes de zonage qui, à l’évidence comportent des erreurs d’appréciation liées à des cartes d’aléas dont nous tenons à signaler le manque de pertinence. Entre autres, ces cartes ont été élaborées à partir de données devenues souvent obsolètes.
- L’ensemble des communes signataires demande que soient analysés en commun et en amont tous les éléments ayant concouru à l’élaboration de ces documents.
- Il faudrait que le zonage définitif apparaisse comme le croisement entre l’aléa et l’enjeu au bénéfice de ce dernier comme la loi le demande. Ce zonage doit s’inscrire dans un strict respect du droit à la propriété (constitutionnellement garanti) et des droits à construire contenus dans les POS et les PLU. Rappelons que les PPRIF ne visent pas à enrayer une urbanisation contrôlée et raisonnée par les équipes municipales mais à interdire l’implantation de nouvelles constructions dispersées dans les espaces dits « à risque » et à favoriser l’aménagement de dispositifs de protection des constructions existantes, en particulier en lisière de forêt.
Cela conduirait à :
- Ne classer en zone rouge que les massifs forestiers les plus denses ;
- Classer en zone bleu foncé et bleu clair les zones habitées en procédant à des aménagements destinés à les protéger si nécessaire, en particulier entre zones boisées denses non urbanisées et zones habitées. Le débroussaillement, moins coûteux et plus efficace pour la protection des personnes et des biens que l’implantation d’hydrants et l’aménagement de voiries, doit figurer en premier lieu dans ces aménagements ;
- Classer en zone bleue les zones d’activités (agricoles, artisanales ou autres) qui concourent par elles-mêmes à la protection et à la lutte contre les incendies de forêts. Bien évidemment, en cas d’abandon d’activité, la zone concernée repasserait en rouge ;
- Respecter une homogénéité dans les zonages (notamment les limites cadastrales pour les propriétés) comme l’a rappelé un Tribunal Administratif (Tribunal Administratif de Toulon lors d’un jugement récent concernant le PPRIF de Fréjus) ;
- L’ensemble des zonages ne devrait en aucun cas rester figé et devrait donc pouvoir évoluer en fonction des réalités géographiques, sociales et économiques du terrain qui, au cours des ans, s’avèrent fluctuantes.
EN CE QUI CONCERNE LES AMÉNAGEMENTS :
Nous souhaiterions :
- que soient respectés un processus de concertation, ainsi que les décisions et orientations prises sur le terrain.
- que soit instauré dans les meilleurs délais, dans chaque commune, un comité de pilotage tripartite composé des représentants de la Commune, de l’Etat et des administrés. Les Communes pourront y associer un représentant du SIP des Aspres.
- que soient définies des propositions réalistes et réalisables, c’est-à-dire compatibles avec les contraintes budgétaires des communes et des particuliers. Cela signifie que l’on renonce à certaines prescriptions extravagantes exagérément coûteuses et souvent inadaptées pour prévenir le risque incendie dans les massifs boisés. Le jugement en première instance du Tribunal Administratif de Toulon concernant le PPRIF de Fréjus peut être rappelé. En effet, une des raisons pour lesquelles l’annulation de ce PPRIF a été obtenue est que les travaux imposés aux propriétaires, exploitants, utilisateurs étaient trop importants au regard de la valeur des enjeux à défendre.
Ainsi, il nous semblerait raisonnable de :
- Admettre, après enquête, les reconstructions de maisons et de bâtiments détruits par un incendie de forêt, en zone rouge, à la condition expresse que le débroussaillement ait bien été effectué (ce qui pose le problème du contrôle de l’exécution des travaux).
- Privilégier le débroussaillement à 100 mètres. Des solutions concernant le traitement des interfaces et des pare-feu peuvent être trouvées (débroussaillement, agriculture, sylvo-pastoralisme, etc.) ;
- Limiter les prescriptions concernant la pose d’hydrants. Mieux vaut une rationalisation qu’une multiplication inefficace des moyens. Les propositions d’implantation massive actuelles sont aussi irréalisables qu’inutiles compte tenu de la pénurie d’eau dans notre massif;
- N’imposer aucun élargissement systématique des voies existantes dès lors que leur largeur est d’au moins 4 mètres. Des aménagements aux endroits considérés comme sensibles (notamment les points de croisement des véhicules) pourront être préconisés. Un calendrier des travaux devra être proposé aux communes en tenant compte de leurs possibilités financières (révision éventuelle de la durée de mise en application des mesures, mise en place d’un calendrier strict).
L’ensemble des élus signataires rappelle que le traitement et l’entretien des interfaces débroussaillées est une solution technique parmi d’autres garantissant une vraie prévention du risque. Une bonne gestion de ces zones contiguës permettrait de réduire le montant des mesures d’aménagement urbain (hydrant, voirie) trop coûteuses.
EN CE QUI CONCERNE LA RÉGLEMENTATION :
Elle devrait être simplifiée, car plus elle est lourde et complexe, plus risquent de surgir des conflits inutiles entre pouvoirs publics, communes et particuliers. Cette simplification est possible si les PPRIF renoncent clairement à vouloir redéfinir l’urbanisation des communes et à chercher à constituer un schéma directeur des PLU. Nous rappelons avec force que le pouvoir d’aménagement des sols est du ressort des MAIRES comme l’expriment les différentes lois de décentralisation.
REQUÊTE :
Nous élus, appartenant au Collectif des Maires de l’Aspre, souhaitons que nos demandes soient prises en compte. De plus, nous réitérons notre requête de participer activement et dès l’amont à l’élaboration de l’ensemble des PPRIF concernant le massif. Cela permettra de gagner du temps et de trouver collectivement des solutions efficaces et réalistes pour la sécurité des personnes et de leurs biens contre les incendies de forêt.
Nous convenons de mener ensemble – en y associant éventuellement d’autres partenaires – toute action utile à la compréhension et à la prise en compte de nos propositions.
Nous sommes évidemment d’accord pour la prescription du PPRIF mais aménagé en concertation avec tous les acteurs présents sur le terrain et à la condition expresse qu’il ne nuise pas à l’économie de nos communes (comme ce serait le cas, en l’état actuel d’avancement des plans, sur les zones rouges et bleu foncé).
Enfin, le PPRIF doit, à notre sens, être replacé dans un contexte plus large : que veut-on faire de nos communes rurales de l’arrière pays et notamment de l’Aspre ? Quel destin pour notre massif ? Ne doit on pas réfléchir globalement à ce que souhaitent nos populations en privilégiant notamment le maintien d’un certain mode de vie, entre ruralité et modernité?
Le Collectif des Maires de l’Aspre :
Jacques ARNAUDIÈS, maire de VIVÈS; Brigitte BAUX, maire de CALMEILLES; Roger BORT, maire de CAMÉLAS; Jean CHÉREZ, maire de CASTELNOU; Alain DOUTRES, maire de CAIXAS; Lucien JULIA, maire de MONTBOLO; Gérard LLENSE, maire de BOULE D’AMONT; Maya LESNÉ, maire de TORDÈRES; Marie MAUPIN, maire de SAINT-MICHEL-DE-LLOTES; Patrick MAURAN, maire de MONTAURIOL; Alphonse PUIG, maire de SAINTE-COLOMBE; Alain RAYMOND, maire de TAILLET; Roger TOURNÉ, maire de LLAURO; Emile VENDRELL, maire de CORBÈRE et Christian VILA, maire d’OMS.
Créé par torderes le 07 déc 2009 | Dans : A retenir, Fêtes et animations
Pour la troisième année consécutive, Brandan Maurice vient de remporter le championnat départemental d’échecs des jeunes dans la catégorie des Minimes après deux jours de tournoi acharné!
Félicitation à notre brillant Tordérenc, habitué des podiums, et bonne chance pour le championnat régional!