Chantal Ponce Pintos nous a quittés
Créé par torderes le 18 fév 2014 à 14:40 | Dans : Carnet de deuil
Chantal Ponce (épouse Pintos) est décédée hier soir, lundi 17 février, à l’âge de 62 ans. Elle laisse dans la peine et le désarroi sa famille, ses amis et ses proches.
Nous garderons d’elle le souvenir d’une femme courageuse, éprise de vie et d’amitié, d’une mère et d’une grand-mère aimante et généreuse, toujours souriante et attentionnée pour les autres malgré ses peines.
Ses obsèques se dérouleront samedi 22 février, à 14h30, à Castelmaurou (31) dans le cimetière où repose déjà sa maman.
En ces heures difficiles, le maire, les adjoints, le conseil municipal et le personnel communal saluent sa mémoire et adressent leurs condoléances à sa famille et ses amis.
2 réponses to “Chantal Ponce Pintos nous a quittés”
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Quand une fraîcheur matinale annonce un jour printanier, qu’elle dévoile les couleurs et les senteurs d’une nature qui s’éveille, s’anime, comment accueillir cette promesse de vie sans une pensée… Nos regards se posent sur ces bourgeons naissant, nos narines hument la terre humide et les arômes des mimosas, des amandiers, et nos oreilles saisissent dans les gazouillis des oiseaux que cette nature est magique, que son « âme agit », mais le cœur est triste. Nous avons découvert ici, un lieu magnifique de beauté, de sérénité : nous remercions chaque jour ce cadeau ; nous vivons dans le contentement de l’instant… Mais des souffrances à quelques mètres ont été LA souffrance, ces départs brutaux nous laissent le goût amer de la solitude, et ces absences vont peser sur ce que nous sommes venus apprécier et que nous continuerons à louer. Notre incompréhension et notre impuissance révèlent qu’au delà de toute épreuve, une aussi belle matinée peut apporter la force et l’espoir et qu’il est dommage de ne pas l’accueillir… mais désormais avec le souvenir.
Quand une fraîcheur matinale annonce un jour printanier, qu’elle dévoile les couleurs et les senteurs d’une nature qui s’éveille, s’anime, comment accueillir cette promesse de vie sans une pensée… Nos regards se posent sur ces bourgeons naissant, nos narines hument la terre humide et les arômes des mimosas, des amandiers, et nos oreilles saisissent dans les gazouillis des oiseaux que cette nature est magique, que son « âme agit », mais le cœur est triste. Nous avons découvert ici, un lieu magnifique de beauté, de sérénité : nous remercions chaque jour ce cadeau ; nous vivons dans le contentement de l’instant… Mais des souffrances à quelques mètres ont été LA souffrance, ces départs brutaux nous laissent le goût amer de la solitude, et ces absences vont peser sur ce que nous sommes venus apprécier et que nous continuerons à louer, Notre incompréhension et notre impuissance révèlent qu’au delà de toute épreuve, une aussi belle matinée peut apporter la force et l’espoir et qu’il est dommage de ne pas l’accueillir… mais désormais avec le souvenir.