janvier 2017

Archive mensuelle

Trois chèvres et trois oies ont été tuées lors d’une attaque de chien(s) sur le terrain de l’ESAT

Créé par le 31 jan 2017 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement

Trois attaques de chien(s) ont été perpétrées dans la mini-ferme de l’ESAT de Tordères, au champ du Mona, à l’intérieur d’un enclos fermé (avec muret et grillage). Une oie a été tuée fin décembre 2016, puis deux autres, début janvier 2017. Enfin, le vendredi 20 janvier, ce sont trois chèvres qui ont été littéralement massacrées, mordues à mort par un ou des chiens qui ne cherchaient pas à se nourrir mais bien à tuer puisque aucune des chèvres n’a été dévorée. Trois autres chèvres (des alpines) ont été attaquées mais, compte tenu de leur grande taille et de leurs cornes, ont mieux résisté aux assauts et ne sont pas mortes. Le ou les chiens ont réussi à arracher le grillage pour entrer et, dans cet étroit passage, ont laissé des touffes de poils  qui donnent des indices sur la couleur de leur pelage (clair et noir).

Des habitants ont aperçu, à plusieurs reprises, un chien noir et blanc rôdant dans les environs. D’autres ont également signalé une meute de trois chiens divagant régulièrement pas très loin de ce secteur, coursant les voitures et grognant sur les promeneurs. Une fois de plus, nous en appelons donc au civisme et à la responsabilité de chacun.  Un chien n’est pas un être humain et aussi gentil soit-il avec son maître, il peut avoir dans certains contextes une réaction imprévisible, aussi ne laissez pas errer votre chien. Hormis quelques chiens spécifiques (type chiens de chasse ou chiens de troupeau), lorsqu’ils sont dans le cadre de leur travail, il est essentiel pour le bien-être de tous, humains et animaux, que les chiens soient tenus en laisse. Aujourd’hui se sont des oies et des chèvres qui ont connu d’effroyables morsures mais qu’en serait-il si une personne vulnérable était confrontée à ce type d’attaque? D’avance merci de votre compréhension.

Intoxication d’un chat par raticide

Créé par le 30 jan 2017 | Dans : A retenir, Environnement, Infos pratiques

  Une habitante du vieux village a signalé en mairie que son chat avait été empoisonné au cours de la semaine dernière, suite à l’ingestion d’un raticide (essentiellement composé d’anticoagulants). Il a été sauvé in extremis par le vétérinaire qui lui a administré un traitement de vitamine K1 (d’abord par intraveineuse puis par comprimé).

  Il existe deux types de produits raticides ou rotondicides (plus communément appelés « mort aux rats ») :
• 1ère génération (les plus anciens) : coumafène ou warfarin, chlorophacinone, qui persistent 2 à 3 semaines dans l’organisme
• 2ème génération : bromadiolone, difénacoum, brodifacoum, diféthialone, flocoumafène, etc., qui persistent pendant 3 à 5 semaines.

  Ils sont utilisés pour lutter contre les rongeurs nuisibles et agissent en bloquant le cycle normal de la coagulation, ce qui provoque des hémorragies. Ils sont stockés dans le foie et les reins de l’animal pendant plusieurs semaines.

  Si le chien ou le chat ingère directement le poison, on parle d’intoxication directe. Elle peut être accidentelle si l’animal découvre un appât empoisonné destiné aux rongeurs ou bien une boîte de produits raticides, mais il arrive aussi que l’intoxication soit un acte de malveillance.

  On parle d’intoxication indirecte lors d’ingestion par les chats ou les chiens de rongeurs empoisonnées, le risque est alors très faible si votre animal n’en mange qu’un de temps en temps, la dose toxique pour un rongeur étant bien plus basse que celle pour nos carnivores domestiques. Cependant, par accumulation, il peut finir par s’intoxiquer. Ce risque est à considérer chez le chat, chassant volontiers les petits rongeurs, il attrapera plus facilement sa proie affaiblie par le poison.

  Les signes n’apparaissent pas tout de suite après l’ingestion, mais plusieurs jours après (entre 2 et 12 jours) et traduisent un syndrome hémorragique diffus

  En début d’évolution on pourra observer une baisse d’appétit, une faiblesse, puis des signes d’hémorragie : anémie (muqueuses pâles), saignements de nez), selles rouges ou noires, sang dans les urines, saignements dans les articulations qui se traduisent par un gonflement des articulations, une boiterie, de la toux, des difficultés respiratoires dues à des hémorragies pulmonaires, voire des convulsions (dues à des hémorragies cérébrales).

  Si votre animal vient de manger un raticide anticoagulant et que vous en êtes témoin, alors il faut vous rendre immédiatement chez votre vétérinaire. En effet si l’ingestion a eu lieu il y a moins de 6 heures, le vétérinaire pourra évacuer le toxique en faisant vomir votre chien ou votre chat avec un médicament spécifique.

  Si ce délai est dépassé, il existe un antidote : la vitamine K1. Il sera administré immédiatement par votre vétérinaire en intraveineuse puis en comprimés pendant 2 à 5 semaines (parfois même pendant plusieurs mois) selon le raticide ingéré et la fréquence d’exposition à ce produit. Si vous ne savez pas quel raticide est en cause, alors votre vétérinaire prescrira d’emblée un traitement de 3 semaines minimum avec un contrôle à l’issue de ce traitement.

  Astuce : donnez les comprimés de vitamine K1 avec une noisette de beurre, la prise est ainsi facilité et l’efficacité de l’antidote est meilleure lorsqu’il est administré avec de la matière grasse.

  Si votre animal n’a été pris en charge que tardivement et que les hémorragies sont déjà déclarées depuis plusieurs jours, si l’anémie est très importante, une transfusion sanguine peut être nécessaire, en plus du traitement à la vitamine K1.

  Attention ! N’arrêtez jamais de donner le médicament avant la fin de la période de traitement préconisée par la prescription de votre vétérinaire même si votre animal va mieux. Le toxique reste présent dans le corps de votre animal et s’il va mieux c’est bien grâce à la vitamine K1 qu’il prend chaque jour. Le traitement est indispensable jusqu’à ce que le toxique soit totalement éliminé par l’organisme.

Soirée jeu le vendredi 3 février à 20h30

Créé par le 29 jan 2017 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Fêtes et animations

Avis aux petits et grands joueurs ! L’association « Tordères en Fête » vous convie à une SOIREE JEU, le VENDREDI 3 FEVRIER, à la salle polyvalente (mairie), à partir de 20h30. Alors, apportez vos jeux d’échecs, vos petits chevaux, vos dames, vos cartes, vos dés, vos mikados, vos dominos, etc., et partageons un bon moment tous ensemble !

Ateliers consacrés à l’eau à l’école de Tordères

Créé par le 28 jan 2017 | Dans : Ecole, Environnement

  Le Syndicat Mixte Bassin Versant du Réart (SMBVR) gère les rivières et les milieux aquatiques de vingt-cinq communes, dont Tordères, situées sur le territoire du bassin versant de l’étang de Canet St-Nazaire.

  Dans le cadre de la prévention des risques et de la sensibilisation à la protection de l’eau et des milieux naturels dans lesquels elle évolue, le syndicat a initié des « classes d’eau » à destination des écoles du territoire. L’école de Tordères fait partie des heureux élus choisis pour mener l’expérience aux côtés du syndicat et a donc la chance de bénéficier de cinq interventions de deux heures chacune, conduites par l’association « Les Petits Débrouillards ».

Atelier eau Elodie

Elodie, l’animatrice des « Petits Débrouillards », devant les écoliers de Tordères

  Au cours de ces ateliers, les écoliers vont découvrir le cycle de l’eau tout au long du bassin versant (de la source à la rivière, puis à l’étang, et enfin à la mer), mais vont également appréhender le fonctionnement naturel des cours d’eau et les phénomènes de crue et d’inondation qui leur sont liés. Ils vont découvrir les aménagements des cours d’eau et les modifications qu’induit parfois sur eux l’urbanisation. Lors d’intervention en extérieur, ils iront  observer les rivières de Tordères pour mieux comprendre leur fonctionnement et la nécessité de préserver le milieu aquatique, en prenant conscience des dangers de la dégradation des espaces et espèces naturels. Le syndicat espère ainsi que les enfants deviendront acteurs et porte-parole des bons gestes et comportements à adopter dans la gestion des milieux aquatiques… Au vu des malheureux réflexes encore en cours chez certains de nos concitoyens (dépôts sauvages dans les rivières, curage non autorisé, etc.), il serait bon que pareille formation soit ouverte aux adultes !

Atelier eau maquette

Maquette hydraulique représentant le bassin versant du Réart

Atelier de fabrication de masques en papier mâché

Créé par le 27 jan 2017 | Dans : A retenir, Fêtes et animations

  Pour préparer le carnaval, qui aura lieu le dimanche 12 mars, l’association « Tordères en Fête » a prévu deux ATELIERS DE FABRICATION DE MASQUES EN PAPIER MÂCHÉ qui seront menés par Caroline Roussel du « Jardin de Sculptures ».

  Ces ateliers sont ouverts à toutes et tous, enfants, ados ou adultes. Le premier aura lieu le DIMANCHE 5 FÉVRIER, à 14h, et consistera à réaliser le papier et à donner sa forme au masque en l’adaptant au visage de chacun. Le second aura lieu quinze jours plus tard, le DIMANCHE 19 FÉVRIER, à la même heure (décoration du masque).

  Si vous ne pouvez pas assister à l’un des deux, ce n’est pas grave, les autres participants avanceront vos travaux.

  Si possible, merci d’apporter du carton, des journaux et des magazines.

  Participation libre.

Réunion de présentation du Plan Communal de Sauvegarde

Créé par le 25 jan 2017 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement, Equipe municipale et commissions, Infos pratiques

  Une vingtaine d’habitants ont participé à la réunion de présentation du Plan Communal de Sauvegarde qui s’est déroulée le mardi 24 janvier en mairie. Il s’agit d’un document obligatoire réalisé sous la responsabilité du  maire pour planifier les actions des différents personnels et élus communaux, et également des habitants qui souhaitent s’impliquer dans la gestion d’une crise en cas d’événements majeurs naturels (feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, tempête, séisme, etc.), technologiques (risques industriel, nucléaire, biologique, etc.), ou sanitaires (risques infectieux, pandémie, etc.). Le Code Général des Collectivités Territoriales l’impose particulièrement aux communes qui, comme Tordères, ont un Plan de Prévention du Risque incendie de forêt (PPRif) prescrit.

  Par le biais du Syndicat Mixte Bassin Versant du Réart, auquel appartient la commune, la municipalité a eu l’opportunité de travailler avec le bureau d’étude Mayane, pendant près d’une année, pour réfléchir et rédiger le PCS.

  Tordères, largement dominé par la forêt et la garrigue, est également marqué par une aridité et une sécheresse qui vont croissant, ce qui l’expose fortement au risque incendie. La commune a subi plusieurs feux d’envergure, notamment en 1976 (où plus de 200 ha ont été détruits sur le territoire communal) et en 1981 (avec un incendie qui s’est soldé par la tragique disparition d’un sapeur-pompier, le Lieutenant Gourbault, dans la Forêt du Réart). Cette exposition accrue de la commune au risque incendie a conduit les services préfectoraux à prescrire, dès 2007, un Plan de Prévention du Risque Incendie de Forêts (PPRif). Les Tordérencs connaissent, pour la plupart, ce risque et y sont particulièrement sensibles. Beaucoup ont appris à vivre avec, mais la mémoire du feu a tendance à s’effilocher entre deux incendies et, par ailleurs, de nouveaux Tordérencs se sont installés qui ne sont pas toujours pleinement au fait du danger, il est donc nécessaire d’entretenir pour les uns et d’apprendre pour les autres les bons réflexes et les comportements de base pour savoir y faire face.

  Emeline Pasquet, chargée de mission, a présenté cet outil pratique et pédagogique qui va permettre à tous, petits et grands, de se préparer, dans le calme et la sérénité, pour être prêts à faire face à n’importe quel risque naturel ou technologique qui pourrait advenir, en recensant et organisant tous les moyens nécessaires à la mise en sécurité des habitants en cas d’alerte, d’évacuation ou de confinement, ou bien encore de mise en place d’un hébergement d’urgence ou d’un ravitaillement, etc.

  En règle générale, à chaque fois que la commune a été touchée par ce type d’événements, les habitants ont fait preuve d’un grand sens de l’entraide et de la solidarité, qu’il s’agisse de tempête, de chutes de neige abondantes, ou d’incendie. Le Plan Communal de Sauvegarde vise en fait à mieux synchroniser les actions des uns et des autres et à n’omettre rien ni personne avant, pendant et après la crise.

  Celles et ceux qui souhaitent prêter main forte au conseil municipal en cas de crise peuvent bien entendu s’inscrire pour différents types d’actions (secrétariat, intervention de terrain, accueil des personnes évacuées dans la salle polyvalente) et participer ainsi à la Réserve Communale de Sécurité Civile.

Réu PCS

Photo de Mathieu Delseny

Cérémonie d’inhumation des ossements retrouvés devant l’église lors des fouilles archéologiques

Créé par le 23 jan 2017 | Dans : Eglise, Equipe municipale et commissions, Histoire

  Aujourd’hui, a eu lieu la cérémonie d’inhumation des ossements retrouvés au cours des fouilles archéologiques qui se sont déroulées sur le parvis de l’église, en novembre 2016.

   Le diagnostic archéologique, rappelons-le, obligatoire dans le cadre des travaux de restauration de l’église et ordonné par le Préfet de Région, a dévoilé une vingtaine de sépultures découvertes dans deux tranchées d’une profondeur d’environ 70 cm et une largeur de 1m (soit une surface globale de 9m2). Ainsi, cette connaissance des lieux a-t-elle permis de ne pas détériorer les ossements, de les recueillir et de les protéger. Car, autre temps, autres mœurs, au même endroit, des travaux d’installation électrique, effectués dans les années 1980-90, n’ont malheureusement pas été précédés par de telles fouilles, ce qui est regrettable car des gaines ont été retrouvées, traversant de part en part les ossements, parfois même déplacés ou broyés. C’est précisément pour éviter ce genre de bévue et d’indélicatesse qu’il était fondamental que soient réalisées les fouilles.

   Les tombes initiales ont été creusées et taillées dans le rocher sous-jacent et ont été réemployées régulièrement à travers les siècles. La plupart des ossements issus des inhumations initiales ont été redéposés, en quelque sorte en «remblais», pour le comblement des inhumations suivantes. De nombreuses réductions ont pu être observées au sein de sépultures réunissant jusqu’à trois individus distincts. Cette partie du cimetière était mixte et comportait aussi bien des adultes que des enfants. Toutefois, les archéologues ont pu remarquer la prédominance des inhumations d’enfants dans les sépultures se trouvant à proximité du piédroit est du portail de l’église.

   D’un point de vue chronologique, les archéologues n’ont retrouvé que peu d’éléments permettant de dater les sépultures. Comme elles ont été régulièrement récupérées au cours des siècles, il n’est pas possible d’en déterminer une datation fidèle. Cependant, l’origine médiévale de certaines d’entre elles n’est pas à exclure.
   D’après les éléments du mobilier céramique et funéraire recueilli, parmi les ossements les plus anciens, bon nombre pourrait dater des 17ème et 18ème siècles, tandis que les plus récents seraient attribués à la fin du 19ème siècle, voire au premier quart du 20ème siècle.

   Mme le Maire tient à remercier les archéologues de l’INRAP pour la qualité de leur travail et leur capacité à partager l’information qui ont fait de ces fouilles un grand moment dans la vie du village. Elle salue aussi l’intérêt manifesté par la cinquantaine d’habitants et par les écoliers de Tordères venus visiter le chantier dans le plus grand respect des fouilles et des défunts, respect dans lequel s’inscrit également l’inhumation de ce jour, dans un caveau communal et dans un cercueil conçu par la menuiserie Sol, avec une bénédiction des ossements par le Père Lokuli accompagné du Père Efukya.

Cérémonie 1

Photo de Vincent Bonilla y José

Réunion de présentation du Plan Communal de Sauvegarde de Tordères, mardi 24 janvier, 19h

Créé par le 19 jan 2017 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement, Equipe municipale et commissions, Infos pratiques

  Le Code Général des Collectivités Territoriales impose aux maires des responsabilités en termes de sécurité et de mesures de sauvegarde. Dans ce cadre, les municipalités ont le devoir d’élaborer un Plan Communal de Sauvegarde (PCS). Il s’agit d’un outil réalisé pour planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque (élus, agents municipaux, bénévoles, entreprises partenaires) en cas d’évènements majeurs naturels (feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme, etc.), technologiques (risques industriel, nucléaire, biologique, etc.), ou sanitaires (risques infectieux, pandémie, etc.).

  Un des volets du PCS est le DICRIM (Document d’Information Communale sur les Risques Majeurs), écrit à destination de la population et obligatoire pour toutes les communes soumises à un plan de prévention. Ce document ne se veut ni alarmiste, ni anxiogène, mais simple outil pratique et pédagogique, permettant à tous, petits et grands, de se préparer, dans le calme et la sérénité, afin d’être prêts à faire face à n’importe quel risque naturel ou technologique qui pourrait advenir dans notre commune.

  Comme chacun le sait, Tordères, largement dominé par la forêt et la garrigue, également marqué par une aridité et une sécheresse croissantes, est particulièrement exposé au risque incendie. Notre commune a d’ailleurs subi plusieurs feux d’envergure, notamment en 1976 (où plus de 200 ha ont été détruits sur le territoire communal) et en 1981 (avec un incendie qui s’est soldé par la tragique disparition d’un sapeur-pompier, le Lieutenant Gourbault, dans la Forêt du Réart). Cette exposition accrue au risque incendie a conduit les services préfectoraux à prescrire, dès 2007, un Plan de Prévention du Risque Incendie de Forêts (PPRif). Il est donc essentiel pour chacun d’entre nous d’apprendre à tenir compte de ce risque et à vivre avec, en adoptant les réflexes et comportements de base pour savoir y faire face.

  Dans ce cadre, le conseil municipal de Tordères invite chacun d’entre vous à assister à une RÉUNION PUBLIQUE D’INFORMATION SUR LE PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE (PCS) qui aura lieu le MARDI 24 JANVIER, à 19h, à la mairie.

  La réunion, qui se tiendra en présence des élus et de représentants du bureau d’étude Mayane, sera l’occasion de présenter le PCS et de définir les risques majeurs et les obligations de chacun en matière de sécurité civile.

Cérémonie publique d’inhumation des ossements retrouvés lors des fouilles archéologiques

Créé par le 16 jan 2017 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Eglise, Equipe municipale et commissions, Histoire

  Les ossements retrouvés au cours de l’opération de fouilles archéologiques qui s’est déroulée sur le parvis de l’église en novembre 2016 seront inhumés dans le cimetière de Tordères, lors d’une cérémonie publique à laquelle les habitants sont conviés, le lundi 23 janvier, à 16h. Un caveau et une plaque commémorative leur seront dédiés et ils seront inhumés dans un cercueil (conçu par la menuiserie Sol), avec bénédiction du Père Lokuli.

Assemblée Générale du Collectif Alternatives aux Pesticides 66

Créé par le 15 jan 2017 | Dans : A retenir, Economie locale et associations, Environnement

Le Collectif Alternatives aux Pesticides 66 (CAP66) vous informe de la tenue de son assemblée générale le lundi 16 janvier, à la Cyberbodega, au 26 rue de l’Avenir, à Perpignan, à 18h.

Présentation du rapport d’activités et financier 2016, renouvellement du conseil collégial, projets 2017 (semaines alternatives aux pesticides 2017, renouvellement de la carte des pratiques phytosanitaires dans les communes des Pyrénées-Orientales), verre de l’amitié.

➤ Infos sur alternatives-pesticides66@laposte.net ou sur le site www.cap66.net

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