janvier 2024
Archive mensuelle
Archive mensuelle
Créé par torderes le 31 jan 2024 | Dans : Equipe municipale et commissions
Le Conseil Municipal se réunira le mardi 6 février 2024 à 14h30, à la salle polyvalente (mairie).
Les conseils sont ouverts au public.
Ordre du jour :
1) Mandatement des dépenses d’investissement avant le vote du budget 2024.
2) Communauté de Communes des Aspres : modification des statuts 5.2/B – Autres compétences supplémentaires : équipements culturels.
Questions diverses
Créé par torderes le 19 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques
Le recensement des Tordérencs a commencé le 18 janvier 2024. Réalisé conjointement par l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) et les communes, il permet d’établir la population officielle de chaque commune et de connaître avec finesse la diversité et l’évolution de la population en France. Par ailleurs, des chiffres de ce recensement découle directement la participation de l’État au budget des communes. Voilà donc, entre autres, pourquoi il est essentiel de se recenser.
Répondre par internet est la manière la plus simple de participer mais il est également possible de remplir un formulaire sur papier et de demander à l’agent recenseur de la commune, Valérie Alba, son aide pour le remplir en cas de difficultés ou de doutes.
La Loi prévoit que la réponse au questionnaire de recensement est obligatoire (en cas de refus de réponse, une amende peut être appliquée). En contrepartie de cette obligation, L’INSEE assure la confidentialité des informations. Il est le seul destinataire de toutes les informations recueillies et ne peut les communiquer à quiconque pendant un délai de 75 ans. Les informations recueillies ne sont pas transmises au fisc ou aux organismes sociaux.
Créé par torderes le 15 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Environnement, Infos pratiques
Créé par torderes le 10 jan 2024 | Dans : Santé
En cas de suspicion d’une infection urinaire, une cystite par exemple, il est désormais possible, pour les femmes âgées de 16 à 65 ans, de réaliser un test de dépistage directement en pharmacie, sans forcément voir un médecin ou une sage-femme au préalable.
Cas n°1 : La personne se rend directement en pharmacie pour demander de faire un test avec une bandelette urinaire. Au préalable, le pharmacien vérifie après d’elle que ses symptômes correspondent à ceux d’une infection urinaire et que la patiente ne présente pas de signe de gravité (par exemple une température corporelle supérieure à 38°C ou inférieure à 36°C, douleurs au niveau des flancs, abdominales, etc.). Ces vérifications faites, le pharmacien remet à la personne un test urinaire à utiliser dans les sanitaires de la pharmacie.
En cas de résultat positif de la bandelette urinaire, le pharmacien oriente la patiente vers son médecin ou sa sage-femme qui pourra lui prescrire un médicament adapté.
Cas n°2 : La personne est orientée vers la pharmacie par son médecin pour réaliser le test. Si le médecin lui a remis une ordonnance dite «conditionnelle», c’est-à-dire précisant que la délivrance des médicaments ne sera faite qu’en fonction des résultats du test, le pharmacien délivrera directement à la patiente le traitement antibiotique inscrit sur l’ordonnance en cas de test positif. Inutile de consulter une seconde fois son médecin.
En cas de test négatif, le pharmacien exclut le diagnostic d’une infection urinaire : il permet d’éviter une prescription inutile d’antibiotiques.
À noter : quelle que soit la situation, le pharmacien envoie les conclusions du dépistage (test positif ou négatif, éventuelles alertes…) au médecin traitant ou à la sage-femme de la patiente.
Le pharmacien donne le test urinaire à la patiente. En pratique, il s’agit d’un flacon dans lequel la personne doit uriner. Elle le remet ensuite au pharmacien pour qu’il mette ensuite la bandelette dedans pour lire le résultat. Une fois le test réalisé, selon la couleur que prend cette bandelette, le pharmacien saura s’il s’agit d’une infection urinaire – cystite – nécessitant un traitement antibiotique prescrit par un médecin ou une sage-femme.
Dans les 2 cas, le test est réalisé en pharmacie. Son coût est de 6 euros dont 70 % sont pris en charge par l’Assurance Maladie et les 30 % restants couverts par l’assurance maladie complémentaire (mutuelle, assurance…).
Créé par torderes le 05 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques
Jusqu’au 14 janvier, se déroule la campagne « Masque solidaire », lancée à l’initiative de 3 associations de patients – Renaloo, Aides et ELLyE (voir encadré ci-après). Son objectif : encourager chacun à porter un masque, en particulier dans les espaces publics clos, pour protéger les plus fragiles.
Le Covid-19, en effet, circule toujours, en même temps que d’autres infections respiratoires. Ces virus continuent de frapper durement les personnes vulnérables et en particulier les personnes sévèrement immunodéprimées. Ces personnes immunodéprimées répondent faiblement ou pas du tout à la vaccination et courent un risque accru de formes graves, d’hospitalisation et de décès. En France, 300 000 personnes environ sont concernées (patients greffés d’organes, dialysés, traités pour certains cancers, notamment hématologiques…). 1 patient dialysé sur 20 est décédé du Covid (1) et 1 greffé rénal sur 8 a été hospitalisé pour Covid grave (2).
Cependant, le port du masque dans les lieux publics clos reste très marginal (3) : 15 % des français portent le masque en présence de personnes vulnérables, 14 % dans les transports en commun et seulement 50 % ont l’intention de le porter en cas d’apparition de symptômes.
La campagne « Masque solidaire » rappelle qu’en portant le masque, on est solidaire en protégeant les plus fragiles, et l’on se protège aussi soi-même.
Cette campagne est soutenue par le ministère de la Santé et de la prévention, en partenariat avec l’Assurance Maladie, Santé publique France, le Comité d’éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française (Cespharm), l’Union de syndicats de pharmaciens d’officine (Uspo) et de nombreux autres acteurs.
Créé par torderes le 04 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
En période hivernale, les risques d’intoxication au monoxyde de carbone (CO) augmentent, en lien avec l’utilisation des appareils de chauffage. Chaque année en France, environ 1 300 épisodes d’intoxications au CO surviennent par accident impliquant près de 3 000 personnes. Invisible, inodore et non irritant, le monoxyde de carbone est indétectable. Des gestes simples contribuent pourtant à réduire les risques.
Les appareils utilisant des combustibles (gaz naturel, bois, charbon, fuel, butane, propane, essence ou pétrole etc.) pour la production de chaleur ou de lumière sont tous susceptibles, si les conditions de leur fonctionnement ne sont pas idéales, de produire du monoxyde de carbone (CO).
> Avant l’hiver
Faites systématiquement vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude, ainsi que les conduits de fumée (ramonage mécanique) par un professionnel qualifié dans votre résidence principale et secondaire le cas échéant ;
> Toute l’année et particulièrement pendant la période de chauffe
En collectivité, il convient d’être particulièrement attentif : les intoxications liées à l’utilisation de chauffages à gaz sont fréquentes.
> Réagir rapidement : aérer et appeler les secours
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz asphyxiant indétectable : il est invisible, inodore et non irritant. Maux de têtes, nausées, fatigue, sont les symptômes qui doivent alerter. Si ces symptômes sont observés chez plusieurs personnes dans une même pièce (ou au sein du même foyer) ou qu’ils disparaissent hors de cette pièce , cela peut être une intoxication au monoxyde de carbone. Dans ce cas, il est nécessaire d’aérer, d’évacuer le lieu et d’appeler les urgences en composant le 15 ou le 112.
Une intoxication importante peut conduire au coma et à la mort, parfois en quelques minutes. Il faut donc agir très vite. En cas de suspicion d’intoxication :
• Aérez immédiatement ;
• Arrêtez si possible les appareils à combustion ;
• Évacuez les locaux ;
• Et appelez les secours en composant le 15, le 18 ou le 112 (et le 114 pour les personnes malentendantes).
La prise en charge des personnes intoxiquées doit intervenir rapidement, dès les premiers symptômes, et peut nécessiter une hospitalisation.
Chaque année, environ 1 300 épisodes d’intoxications au CO survenus par accident et impliquant près de 3 000 personnes sont déclarés aux autorités sanitaires.
Créé par torderes le 03 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
Depuis le 1er janvier 2024, MaPrimeAdapt’ vous aide à financer vos travaux d’adaptation de votre logement. Objectif de cette aide unique pour l’adaptation des logements : permettre aux personnes en situation de handicap ou en perte d’autonomie, remplissant les conditions d’attribution, de rester vivre chez elle. Comment ? En leur permettant de financer des travaux d’adaptation de leur logement grâce à l’aide MaPrimeAdapt’.
Attribuée sur conditions de ressources, MaPrimeAdapt’ s’adresse :
Pour en bénéficier vous devez être propriétaire occupant ou locataire du parc privé pour votre résidence principale sans condition d’ancienneté.
Avec l’ambition de prévenir les chutes et situations de fragilités dans le logement pour tous les publics en perte d’autonomie, cette nouvelle aide vous permettra de financer différents travaux d’adaptation intérieurs et extérieurs, comme par exemple :
Dans la limite d’un plafond de travaux de 22 000 euros hors taxes et selon le niveau de revenus de votre ménage, MaPrimeAdapt’ peut financer jusqu’à 50 % ou 70 % du montant de vos travaux d’adaptation.
Retrouvez toutes les informations en cliquant ici : https://www.monparcourshandicap.gouv.fr/actualite/maprimeadapt-une-aide-unique-ladaptation-des-logements-depuis-le-1er-janvier-2024
Créé par torderes le 02 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales
Dans la nuit du 31 décembre 2023 au 1er janvier 2024, le portillon du jardin d’enfants a été brutalement vandalisé et n’est plus en état de fonctionner.
Le conseil municipal déplore ces actes devenus récurrents dans notre paisible petite commune.
En attendant sa réparation, le portillon va être tout bonnement retiré afin que personne ne se blesse.
Merci de votre compréhension.
Créé par torderes le 01 jan 2024 | Dans : Equipe municipale et commissions
Le conseil municipal et le personnel communal de Tordères vous souhaitent une belle et heureuse année 2024 !