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Rejet préfectoral du projet de création d’une Zone de Développement Eolien sur Fourques

Créé par le 14 jan 2010 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Environnement, Equipe municipale et commissions, Histoire

  Alphonse Puig, maire de Sainte-Colombe-de-la-Commanderie, Eric Brisse, maire de Terrats, et moi-même, avons été reçus ce matin au sujet de la ZDE de Fourques en Préfecture. C’est le Préfet en personne, M. Delage, accompagné pour l’occasion par M. Roch, le nouveau directeur de la DDEA, qui nous a annoncé que le projet de création d’une Zone de Développement Eolien sur la commune de Fourques n’avait pas été retenu et que, par conséquent, ce projet était refusé, sur avis de la Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement et sur avis de la Commission départementale des Sites, Perspectives et Paysages.

  C’est une grande victoire pour les petites communes limitrophes et directement impactées, Tordères, Montauriol, Caixas, Sainte-Colombe et Terrats, qui se sont battues contre cette implantation, tant sur la forme que sur le fond. Mais si nous n’avons jamais baissé la garde, c’est essentiellement grâce au soutien des populations de nos villages. Je voudrais donc remercier tout particulièrement le conseil municipal de Tordères qui, dans ce dossier, m’a apporté un soutien unanime et sans faille, ainsi que les habitants de la commune qui ont participé à cette longue lutte en nous procurant conseils et réconfort à chaque étape du processus… Pour un maire, porter la parole de la population et de  son conseil, c’est le plus grand des stimulants et cela décuple les forces!

  Merci également au Collectif « le Vent tourne » avec lequel nous avons partagé et échangé de nombreuses propositions et qui a aussi fait part de son mécontentement à la Communauté de Communes des Aspres, au maire de Fourques et au Préfet.

  Aujourd’hui, tous ensemble, nous avons réussi à résister, cependant restons vigilants, ce projet-là est mort et enterré mais d’autres, plus graves encore, peuvent ressurgir à tout moment. La Communauté d’Agglomération de Perpignan-Méditerranée est pleine d’appétit. Pour l’instant, elle s’est contentée d’engloutir Llupia et Ponteilla, soyez certains qu’elle n’en restera pas là puisque Jean-Paul Alduy, son président, dans une récente interview pour France Bleu, s’immisçant sans aucune gêne dans les affaires de notre intercommunalité, défendait ardemment la pertinence du  projet de ZDE de Fourques… Affaire à suivre donc…

Maya Lesné, maire de Tordères

Départ de Ponteilla et Llupia à l’Agglo : ce qui ne va pas changer

Créé par le 12 jan 2010 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Economie locale et associations, Equipe municipale et commissions, Histoire

 Le 29 décembre 2009, le Préfet des Pyrénées-Orientales a accepté que Llupia et Ponteilla rejoignent la Communauté d’Agglomération Perpignan-Méditerranée à partir du 1er janvier 2010. Notre Communauté de Communes n’a donc eu que deux jours pour se retourner!

 Il était hors de question de couper l’eau à ceux qui nous abandonnaient, ni d’arrêter le ramassage des ordures ménagères, ni de laisser les parents et les enfants de ces deux villages subir les conséquences fâcheuses de décisions prises sans aucune consultation de la population. Pour nous, Communauté de Communes des Aspres, la solidarité n’est pas un vain mot. Pendant des mois et plus longtemps encore s’il le faut, nous continuerons à assurer les services que nous assurions jusqu’ici à Llupia et Ponteilla. Il n’est pas question que la population supporte les répercussions des choix politiques et personnels de ses représentants. 

 Des conventions sont en cours de signature avec l’Agglo pour formaliser les services que nous continuerons à rendre à ces communes mais il faut bien comprendre que même si elles nous quittent pour cette Agglo si désirable, c’est bien nous qui assumerons leurs services vitaux du quotidien (eau, assainissement, ramassage des ordures ménagères, crèche, etc.). Dans ces conditions, on se demande bien pourquoi partir à l’Agglo et abandonner une communauté à laquelle elles appartenaient pleinement et qui, envers et contre toute querelle partisane ou personnelle, apportait les mêmes attentions à chacun de ses membres. 

 En réalité, Jean-Paul Alduy, président de la Communauté d’Agglomération, vient de lancer un cheval de Troie dans notre communauté et espère hâter ainsi son démantèlement. C’est sans compter sur la ténacité des communes des Aspres qui, envers et contre tout, souhaitent poursuivre l’aventure politique initiée par des hommes de la trempe de l’avocat Louis Noguères (déchu de ses mandats de maire de Thuir et de conseiller général parce qu’il  faisait partie des quatre-vingts députés qui, aux côtés de Léon Blum, refusèrent de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain en juillet 1940, poursuivi par la Gestapo pour avoir organisé la presse résistante régionale), ou bien encore de Léon-Jean Grégory, son confrère et adjoint à Thuir avant de devenir maire à son tour (lui aussi révoqué en tant qu’adjoint complice et suspect en 1940), tous deux initiateurs de formidables syndicats qui, préfigurant et annonçant notre communauté de communes, ont permis l’aménagement de notre territoire, tant en matière d’eau potable et d’assainissement qu’en matière purement sociale (avec notamment la fondamentale et précieuse création du premier Syndicat Intercommunal Scolaire et des Transports de France qui permettait, à moindre coût, d’offrir à tous le service des cantines et des transports scolaires à une époque où l’enseignement secondaire n’était communément réservée qu’aux plus aisés).   

 Pourrions-nous, sans honte, nous asseoir sur le courage et la volonté de ces grands résistants, sur la chance et la force qu’ils ont offertes aux habitants de notre dure terre de l’Aspre ? Pourrions-nous, comme les bons petits soldats de Llupia et Ponteilla, qui nous disent de ne pas tomber dans le piège du sentimentalisme et de l’affectif, mettre fin à tous les principes de solidarité qui ont régi jusqu’ici les rapports entre les basses et les hautes Aspres ? « Mais l’économie, avez-vous pensé à l’économie ?”… Les détracteurs de notre communauté de communes n’ont que ces mots à la bouche et oublient trop facilement  l’Humain, le bien commun, le savoir-vivre, l’entraide, le partage. Ne parlons même pas de l’avis des populations qui n’ont bien sûr pas été consultées par leurs élus. Du haut de leur superbe, les maires de Ponteilla et Llupia n’ont que faire des protestations. Dans le fond, totalement décomplexés, ils ne font que reproduire les usages en cours au sommet de l’Etat. Dans quelques années, quand l’Agglo, d’ores et déjà endettée, leur aura mangé le peu de laine qui leur reste sur le dos et qu’elle les aura privés de leur indépendance et d’une certaine liberté de penser, nous rediscuterons de leurs beaux arguments économiques. Quand, jadis gros parmi les petits, ils seront devenus petits parmi les gros, nous verrons s’ils garderont cette belle suffisance, nos amis de la plaine! Quant à nous, Communauté de Communes des Aspres, resserrons les rangs et plus que jamais, jouons la carte de la solidarité et de la ruralité. Ensemble! TOUS ensemble sans oublier personne sur le bord du chemin.

Maya Lesné

Bienvenue à Vincent, le nouvel employé municipal

Créé par le 05 jan 2010 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Equipe municipale et commissions, Infos pratiques

A partir du 07 janvier 2010, un nouvel employé municipal, Vincent Bonilla y José, assurera 24 heures de travail par semaine sur notre commune, pour pallier à l’absence de Mohamed Mellouk (toujours hospitalisé à Montpellier et auquel nous souhaitons un bon et prompt rétablissement). Il nous vient de Villemolaque et a déjà été précédemment employé communal en Belgique, à Bruxelles. Nous espérons que le meilleur accueil lui sera réservé dans ses nouvelles fonctions. Toute l’équipe municipale qui, depuis quatre mois, assurait les petits travaux du quotidien (balayage, surveillance des poubelles, nettoyage des bâtiments municipaux, etc.), est d’ores et déjà ravie!

Collecte des seringues et autres déchets toxiques

Créé par le 27 déc 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement, Infos pratiques, Santé

 Les déchets d’activités de soins (DASRI) sont les déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et de traitement préventif, curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire. Ils sont considérés comme dangereux, car ils présentent différents risques infectieux, chimiques, toxiques, etc.

 Les pathologies les plus connues comme étant productrices de déchets d’activités de soins à risques infectieux sont le diabète (2/3 de la production de DASRI des particuliers), les hépatites, la sclérose en plaques, les troubles thromboemboliques.

 L’association Déchets de soins 66 a décidé de créer une filière raisonnée pour que plus aucune aiguille ne se retrouve sur la voie publique, dans nos ordures ménagères ou sur la chaîne de tri. Pour l’instant, dans les zones équipées, votre pharmacien vous remettra gratuitement des boîtes jaunes, à double fermeture, pour une collecte à domicile en toute sécurité, et vous pourrez les rapporter dans les points de collecte ADS66 (déchetteries de Prats-de-Mollo, St-Laurent-de- Cerdans, Arles-sur-Tech, Thuir, Trouillas et Montescot, ainsi que le laboratoire d’analyses médicales de Céret, et très prochainement le centre du Vallespir au Boulou).

ADS 66, 7 place des Deux Catalognes, 66180 Villeneuve de la Raho – Tél/fax : 04.68.81.59.56 – Email : technique@ads66.fr – Site Internet : http://www.ads66.fr  

Le réflexe 115

Créé par le 16 déc 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques

La Préfecture communique : 

Les prévisions météorologiques font ressortir depuis dimanche 13 décembre une période de froid plus prononcé sur le département qui débouchera sur des températures ressenties négatives (action conjuguée de la température et du vent) les nuits prochaines. Une vigilance accrue doit être portée auprès des personnes marginalisées et isolées installées dans des abris de fortune.

Les centres d’hébergement d’urgence sont mobilisés dans chaque arrondissement :

- arrondissement de Perpignan jusqu’à 77 places d’hébergement d’urgence. Un dispositif d’abri de nuit est également mobilisé par l’association le Tremplin

- arrondissement de Céret jusqu’à 29 places d’hébergement d’urgence (18 à Banyuls sur Mer et 11 à Céret) et 6 places en hôtel (4 à Amélie les Bains, 2 à Argelès sur Mer)

- arrondissement de Prades jusqu’à 5 places d’hébergement d’urgence (association Sesame) et 3 places au centre de rééducation fonctionnelle des Escaldes.

Un dispositif de transport de nuit est activé sur les arrondissements de Prades et Céret pour acheminer les personnes sans-abri vers les centres d’hébergement d’urgence. Ces places et le dispositif de transport de nuit sont disponibles par le numéro d’appel 115.

Une grande vigilance doit être maintenue concernant les personnes isolées dont un certain nombre refusent parfois toute aide ou hébergement qui les met en situation de danger potentiel.

Si les personnes refusent d’être mises à l’abri alors qu’elles semblent être en danger, il appartient aux agents entrés en leur contact d’user, dans un premier temps, de toute leur persuasion et en cas d’échec, de prévenir le SAMU (n°15) qui mobilise les moyens appropriés afin d’évaluer la situation médicale et apprécie la nécessité de la faire hospitaliser. L’obligation d’assistance à personne en danger est appréciée par les acteurs de terrain en lien avec le médecin régulateur du SAMU.

Numéros à appeler : le 115 pour une demande d’hébergement ou de transport – le 15 en cas de détresse vitale.

Carnet bleu : bienvenue à Titouan Morin-Bardet!

Créé par le 14 déc 2009 | Dans : A retenir, Carnet rose, bleu et blanc

  Un nouveau petit Tordérenc (le 178ème!), Titouan, a vu le jour mercredi 9 décembre. Avec ses 3,3 kilos, il se porte à merveille. Inutile de vous dire que Véronique Bardet et Bruno Morin, ses heureux parents, naviguent depuis presque une semaine sur un petit nuage de ravissement. Que ce bonheur poursuive toute la vie nos deux amoureux et leur petit Titouan! Félicitations!

Motion sur les PPRIF dans le massif de l’Aspre

Créé par le 12 déc 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Environnement, Equipe municipale et commissions, Histoire, Infos pratiques

MOTION relative aux PPRIF dans le massif de l’Aspre

Tordères, le 25 novembre 2009

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 Le Collectif des Maires de l’Aspre s’est réuni à Llauro, le lundi 9 novembre 2009 et, en comité restreint, à Tordères, le mercredi 25 novembre 2009, pour des séances de travail relatives à l’élaboration des PPRIF dans le massif de l’Aspre. Suite à ces réunions, le collectif tient à vous faire part de ses inquiétudes et de ses réticences vis-à-vis des orientations données aux PPRIF en cours dans notre massif. Ces mêmes réserves et interrogations peuvent être étendues à l’ensemble des PPRIF à venir dans l’Aspre et, plus largement, dans notre département.

Le Collectif tient à vous faire part de ses positions : 

EN CE QUI CONCERNE LE ZONAGE : 

- Il faudrait réétudier les cartes de zonage qui, à l’évidence comportent des erreurs d’appréciation liées à des cartes d’aléas dont nous tenons à signaler le manque de pertinence. Entre autres, ces cartes ont été élaborées à partir de données devenues souvent obsolètes.

- L’ensemble des communes signataires demande que soient analysés en commun et en amont tous les éléments ayant concouru à l’élaboration de ces documents. 

- Il faudrait que le zonage définitif apparaisse comme le croisement entre l’aléa et l’enjeu au bénéfice de ce dernier comme la loi le demande. Ce zonage doit s’inscrire dans un strict respect du droit à la propriété (constitutionnellement garanti) et des droits à construire contenus dans les POS et les PLU. Rappelons que les PPRIF ne visent pas à enrayer une urbanisation contrôlée et raisonnée par les équipes municipales mais à interdire l’implantation de nouvelles constructions dispersées dans les espaces dits « à risque » et à favoriser l’aménagement de dispositifs de protection des constructions existantes, en particulier en lisière de forêt. 

Cela conduirait à : 

- Ne classer en zone rouge que les massifs forestiers les plus denses

- Classer en zone bleu foncé et bleu clair les zones habitées en procédant à des aménagements destinés à les protéger si nécessaire, en particulier entre zones boisées denses non urbanisées et zones habitées. Le débroussaillement, moins coûteux et plus efficace pour la protection des personnes et des biens que l’implantation d’hydrants et l’aménagement de voiries, doit figurer en premier lieu dans ces aménagements ;

- Classer en zone bleue les zones d’activités (agricoles, artisanales ou autres) qui concourent par elles-mêmes à la protection et à la lutte contre les incendies de forêts. Bien évidemment, en cas d’abandon d’activité, la zone concernée repasserait en rouge ;

- Respecter une homogénéité dans les zonages (notamment les limites cadastrales pour les propriétés) comme l’a rappelé un Tribunal Administratif (Tribunal Administratif de Toulon lors d’un jugement récent concernant le PPRIF de Fréjus) ;

- L’ensemble des zonages ne devrait en aucun cas rester figé et devrait donc pouvoir évoluer en fonction des réalités géographiques, sociales et économiques du terrain qui, au cours des ans, s’avèrent fluctuantes. 

EN CE QUI CONCERNE LES AMÉNAGEMENTS : 

Nous souhaiterions : 

- que soient respectés un processus de concertation, ainsi que les décisions et orientations prises sur le terrain.

- que soit instauré dans les meilleurs délais, dans chaque commune, un comité de pilotage tripartite composé des représentants de la Commune, de l’Etat et des administrés. Les Communes pourront y associer un représentant du SIP des Aspres. 

- que soient définies des propositions réalistes et réalisables, c’est-à-dire compatibles avec les contraintes budgétaires des communes et des particuliers. Cela signifie que l’on renonce à certaines prescriptions extravagantes exagérément coûteuses et souvent inadaptées pour prévenir le risque incendie dans les massifs boisés. Le jugement en première instance du Tribunal Administratif de Toulon concernant le PPRIF de Fréjus peut être rappelé. En effet, une des raisons pour lesquelles l’annulation de ce PPRIF a été obtenue est que les travaux imposés aux propriétaires, exploitants, utilisateurs étaient trop importants au regard de la valeur des enjeux à défendre. 

Ainsi, il nous semblerait raisonnable de :

- Admettre, après enquête, les reconstructions de maisons et de bâtiments détruits par un incendie de forêt, en zone rouge,  à la condition expresse que le débroussaillement ait bien été effectué (ce qui pose le problème du contrôle de l’exécution des travaux). 

- Privilégier le débroussaillement à 100 mètres. Des solutions concernant le traitement des interfaces et des pare-feu peuvent être trouvées (débroussaillement, agriculture, sylvo-pastoralisme, etc.) ;

- Limiter les prescriptions concernant la pose d’hydrants. Mieux vaut une rationalisation qu’une multiplication inefficace des moyens. Les propositions d’implantation massive actuelles sont aussi irréalisables qu’inutiles compte tenu de la pénurie d’eau dans notre massif; 

- N’imposer aucun élargissement systématique des voies existantes dès lors que leur largeur est d’au moins 4 mètres. Des aménagements aux endroits considérés comme sensibles (notamment les points de croisement des véhicules) pourront être préconisés. Un calendrier des travaux devra être proposé aux communes en tenant compte de leurs possibilités financières (révision éventuelle de la durée de mise en application des mesures, mise en place d’un calendrier strict).  

  L’ensemble des élus signataires rappelle que le traitement et l’entretien des interfaces débroussaillées est une solution technique parmi d’autres garantissant une vraie prévention du risque. Une bonne gestion de ces zones contiguës permettrait de réduire le montant des mesures d’aménagement urbain (hydrant, voirie) trop coûteuses. 

EN CE QUI CONCERNE LA RÉGLEMENTATION :   

  Elle devrait être simplifiée, car plus elle est lourde et complexe, plus risquent de surgir des conflits inutiles entre pouvoirs publics, communes et particuliers. Cette simplification est possible si les PPRIF renoncent clairement à vouloir redéfinir l’urbanisation des communes et à chercher à constituer un schéma directeur des PLU. Nous rappelons avec force que le pouvoir d’aménagement des sols est du ressort des MAIRES comme l’expriment les différentes lois de décentralisation.

REQUÊTE :  

  Nous élus, appartenant au Collectif des Maires de l’Aspre, souhaitons que nos demandes soient prises en compte. De plus, nous réitérons notre requête de participer activement et dès l’amont à l’élaboration de l’ensemble des PPRIF concernant le massif. Cela permettra de gagner du temps et de trouver  collectivement des solutions efficaces et réalistes pour la sécurité des personnes et de leurs biens contre les incendies de forêt.  

  Nous convenons de mener ensemble – en y associant éventuellement d’autres partenaires – toute action utile à la compréhension et à la prise en compte de nos propositions.  

  Nous sommes évidemment d’accord pour la prescription du PPRIF mais aménagé en concertation avec tous les acteurs présents sur le terrain et à la condition expresse qu’il ne nuise pas à l’économie de nos communes (comme ce serait le cas, en l’état actuel d’avancement des plans, sur les zones rouges et bleu foncé).  

  Enfin, le PPRIF doit, à notre sens, être replacé dans un contexte plus large : que veut-on faire de nos communes rurales de l’arrière pays et notamment de l’Aspre ? Quel destin pour notre massif ? Ne doit on pas réfléchir globalement à ce que souhaitent nos populations en privilégiant notamment le maintien d’un certain mode de vie, entre ruralité et modernité? 

Le Collectif des Maires de l’Aspre : 

Jacques ARNAUDIÈS, maire de VIVÈSBrigitte BAUX, maire de CALMEILLES; Roger BORT, maire de CAMÉLASJean CHÉREZ, maire de CASTELNOU; Alain DOUTRES, maire de CAIXAS; Lucien JULIA, maire de MONTBOLO; Gérard LLENSE, maire de BOULE D’AMONT; Maya LESNÉ, maire de TORDÈRES; Marie MAUPIN, maire de SAINT-MICHEL-DE-LLOTES; Patrick MAURAN, maire de MONTAURIOL; Alphonse PUIG, maire de SAINTE-COLOMBE; Alain RAYMOND, maire de TAILLET; Roger TOURNÉ, maire de LLAURO; Emile VENDRELL, maire de CORBÈRE et Christian VILA, maire d’OMS. 

Et de trois!

Créé par le 07 déc 2009 | Dans : A retenir, Fêtes et animations

Pour la troisième année consécutive, Brandan Maurice vient de remporter le championnat départemental d’échecs des jeunes dans la catégorie des Minimes après deux jours de tournoi acharné!

Félicitation à notre brillant Tordérenc, habitué des podiums, et bonne chance pour le championnat régional!

Le Crop de Noël à Tordères

Créé par le 26 nov 2009 | Dans : A retenir, Economie locale et associations, Fêtes et animations

L’association As’Art des Aspres communique : 

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Le CROP de NOËL, grand concours de scrapbooking sur le thème de Noël, sera organisé le 12 Décembre 2009 à Tordères

Il s’agit d’une rencontre mixte (concours et découverte), ouverte à tous, débutants ou accros

Voici le programme commun :

- 10h30 : Le temps des échanges :  on se prête nos tampons, nos perforatrices, nos plaques d’embossage, les pochoirs, la cuttlebug  et autres merveilles… ou on vient juste voir, bavarder, montrer ses créations et «piquer» des idées… en toute convivialité créative !

- 12h : Nous prendrons des forces !  : salades composées au choix, fromage, dessert et café  en collectif ! (ou son propre pique-nique !)

Puis, s’il fait beau, visite du village !

Concours pour les férus :

- 13h30 : Tirage  au sort du sketch et de quelques consignes incontournables…histoire d’aiguiser sa créativité !

Préparation du matériel (tout est permis, portez vos mallettes !!!)

- 14h «top départ» du défi : élaborer la plus jolie page (30/30 ou 20/20) de scrap sur le thème de Noël en couleurs !

PENDANT CE TEMPS… Nous proposerons un atelier découverte aux non initiés et laisserons les accros plancher. Nous fabriquerons un mini (dans le jargon : album miniature) de Noël qui servira de cadeau de table par exemple. Cet atelier permettra d’aborder les principes et techniques de base du scrap.

Nous espérons que certains attraperont notre virus «scrapmania», qui ne se soigne que par le scrap !

Retour au programme commun

- 16h : On rend «sa copie» ! Puis le jury (tiré lui aussi au sort) délibère !

- 16h30 : remise des prix pour les meilleures créations, thé et lots de consolation pour tous !!!

- 17h : Fin de la rencontre, des Ies plein la tête…

Possibilité de ne venir que l’après-midi.

Participation de 6€ pour le matériel, mais c’est gratuit pour les 15/18 ans et les personnes en difficultés financières.

Inscription auprès de l’ Association As’Art Des Aspres

04.68.38.84.05 / asartdesaspres@wanadoo.fr

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Que dois-je apporter ?

Pour le matin :

Vous pouvez prévoir des papiers au format 15cm/11cm qui vous permettront d’utiliser la cuttlebug plus rapidement (tous types unis, imprimés, récup’, etc.) et vos surplus (papiers, embellissements, etc.) pour faire des échanges si vous le souhaitez ! 

Pour le concours :

Se munir de vos photos, de papier format 30/30 ou 20/20 et de tout ce que vous désirez (outils, papiers, tampons, etc.) pour scrapper. Vous trouverez sur place de la récup : papiers, boutons, rubans…, et  des tampons, des perforatrices, des ciseaux à cranter, tapis de découpe, règles, cutters, etc.

Pour l’atelier découverte des débutants :

Prévoir ciseaux, colle (la mieux à notre goût est la colle en gel verte de scotch), un chiffon, règle, crayon et gomme. Nous vous fournirons un kit de mini et de quoi l’agrémenter.

Mise en place d’un plan de débroussaillement sur Tordères

Créé par le 05 nov 2009 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement, Equipe municipale et commissions, Infos pratiques

  Aujourd’hui, le SIP des Aspres et l’association Aménagement, Environnement et Forêt, sont venus présenter, en partenariat avec la D.D.E.A., un plan de débroussaillement pour notre commune.

  En effet, le débroussaillage obligatoire à 50 mètres de chaque habitation n’est pas toujours aisé à mettre en oeuvre, notamment lorsque le périmètre s’étend sur une parcelle voisine. Concrètement, ce plan permet de mettre en évidence le nombre de mètres carré que chaque propriétaire doit débroussailler autour de chez lui et également tout ce qu’il va être amené à débroussailler collectivement avec son ou ses voisins (débroussaillage dit « en intersection »). Ainsi, tous les doutes du « qui fait quoi? » seront levés et les contrôles pourront s’effectuer plus aisément dès le 15 avril (date à laquelle toutes les propriétés bâties doivent être protégées).

  Le plan se présente sous la forme d’une cartographie très claire (où chaque habitation de la commune est répertoriée et différenciée des autres par une couleur particulière) et d’un tableau indiquant le nom des propriétaires, les numéros de parcelles bâties, la surface à débroussailler individuellement, les surfaces à débroussailler collectivement, etc.

  Chacun peut venir consulter ce plan à sa guise en mairie et une réunion explicative va avoir lieu dans les semaines à venir, en présence de Jérôme Louvet, expert forestier à l’initiative de ce plan.

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