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Créé par torderes le 30 oct 2020 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Ecole, Infos pratiques
Contrairement aux rumeurs qui circulent, la rentrée scolaire aura bien lieu le lundi 2 novembre à l’heure habituelle. L’hommage à Samuel Paty ne se fera pas à 10h mais dans chaque classe au moment de la rentrée.
Les élèves reprennent les cours avec un protocole sanitaire renforcé. Il intègre les évolutions rendues nécessaires par l’évolution de la circulation du virus constatée en octobre 2020.
Les parents d’élèves jouent un rôle essentiel en s’engageant à ne pas mettre leurs enfants à l’école, au collège ou au lycée en cas de fièvre (38 °C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la Covid-19 chez l’élève ou dans sa famille. Les personnels doivent s’appliquer les mêmes règles. Les accompagnateurs ainsi que les intervenants extérieurs peuvent entrer dans les bâtiments scolaires après nettoyage et désinfection des mains. Ils doivent porter un masque.
La limitation du brassage des élèves de groupes différents (classe, groupes de classes ou niveau) est désormais requise, dans la mesure du possible. La journée devra se dérouler de façon à ce que, au cours des activités scolaires, les élèves de groupes différents (classe, groupes de classes ou niveau) évitent de se croiser. Cette limitation est d’autant plus nécessaire lorsque la distanciation entre élèves d’un même groupe peut difficilement être respectée (en particulier à l’école maternelle). La limitation devra être pleinement opérationnelle au plus tard le 9 novembre 2020.
Les récréations seront organisées par groupes, en tenant compte des recommandations relatives aux gestes barrières. En cas de difficulté d’organisation, les récréations pourront être remplacées par des temps de pause en classe.
La restauration scolaire peut être organisée dans les lieux habituels. S’agissant des élèves des écoles élémentaires des collèges et des lycées, lorsque le respect de la distance d’un mètre entre élèves est matériellement impossible, il conviendra de faire déjeuner les élèves d’un même groupe (classe, groupes de classe ou niveau) ensemble et, dans la mesure du possible, toujours à la même table. Une distance d’au moins un mètre devra être respectée entre les groupes.
Retrouvez ici l’intégralité du nouveau protocole.
Créé par torderes le 01 sept 2020 | Dans : Ecole
Les 13 élèves de l’école des Grives (3 CE1, 8 CM1 et 2 CM2) se sont retrouvés ce matin pour la rentrée des classes, dans un contexte sanitaire très particulier où la plus grande prudence s’applique à travers les gestes barrières toujours de rigueur et un protocole qui, même légèrement assoupli, n’en reste pas moins rigoureux (distance de 1 mètre entre les tables, lavage de mains régulier, port du masque pour les adultes référents, aération régulière de la salle, etc.).
Certains écoliers n’étaient pas revenus en classe depuis six mois et l’émotion était palpable même si la plupart des enfants et de leurs parents affichaient de grands sourires. Les plus petits étaient fiers et heureux de faire leurs premiers pas dans la cour des grands et, dans l’ensemble, la rentrée s’est déroulée dans la bonne humeur et le plaisir des retrouvailles.
Après près de vingt années de bons et loyaux services à l’école de Tordères, Mme Doppler a quitté ses fonctions de directrice, le 31 août, pour une retraite bien méritée. C’est Guillaume Balansa qui lui succède dans cet établissement qu’il connaît bien puisqu’il y a souvent été remplaçant.
Cher maître, chers écoliers, que l’année scolaire soit douce et légère à tous et que nous la traversions tous ensemble sans encombre !
Pour rappel, l’école des Grives dépend du Regroupement Pédagogique Intercommunal Llauro-Tordères-Montauriol-Caixas dont le fonctionnement est assuré par le syndicat intercommunal Aspresivos.
Le RPI accueille 47 écoliers répartis dans les écoles de Llauro et Tordères.
L’école de Llauro accueille deux classes :
- une classe de maternelle, avec 19 élèves (7 en petite section, 5 en moyenne section, et 7 en grande section);
- une classe des primaires, avec 15 élèves (3 CP et 12 CE2).
L’école de Tordères accueille une classe de primaire (3 CE1, 8 CM1 et 2 CM2).
22 enfants sont domiciliés à Llauro (47% de l’effectif total), 14 à Tordères (30% de l’effectif), 8 à Montauriol (17% de l’effectif) et 3 à Caixas (6% de l’effectif).
Créé par torderes le 31 août 2020 | Dans : Ecole, Santé
Le ministère de l’Education Nationale en appelle à la vigilance des parents. En cas de toux ou de fièvre, il est conseillé de garder son enfant à la maison et de contacter rapidement son médecin traitant. Si les symptômes sont détectés à l’école, les consignes stipulent que l’élève doit être isolé sous la surveillance d’un adulte et que les parents seront contactés pour venir le chercher.
A partir de 6 ans, l’enfant qui présente des symptômes devra porter un masque en attendant ses parents. Il devra rester à la maison en attendant qu’un diagnostic soit posé à l’aide d’un test. Si aucune information ne remonte, l’enfant devra attendre quatorze jours avant de pouvoir retourner en classe.
En cas de test positif au coronavirus, l’établissement scolaire devra prendre soin de désinfecter toutes les pièces où a circulé l’enfant malade au cours des dernières 48 heures. En parallèle, une chaîne d’information est déclenchée par le directeur de l’établissement. Il prévient l’académie et l’Agence Régionale de Santé (ARS) de sa zone. Le directeur doit également établir une première liste de cas contacts et les isoler.
L’ARS en lien avec le médecin scolaire prend ensuite le relais pour démarrer l’enquête épidémiologique. Sont considérés comme cas contacts tous les enfants et les enseignants d’une même classe. Idem pour les personnes qui se sont trouvées à moins d’un mètre du malade, comme par exemple lors d’une discussion, au cours d’un repas ou d’un jeu dans la cour de récréation. Si votre enfant est considéré comme cas contact, il doit rester à l’isolement. Les enfants qui ont simplement croisé dans un couloir ou dans la cour un malade n’entrent pas dans la catégorie cas contact.
Une fois cette liste établie, elle est transmise à l’Assurance-maladie qui a la charge de prévenir toutes les personnes de la conduite à tenir. Elle peut également mettre à jour la liste en identifiant d’autres cas contacts qui ont pu être rencontrés en dehors de l’école. Toutes les personnes concernées doivent être testées et les parents seront informés par l’établissement scolaire des cas confirmés.
Les décisions de fermer une classe ou un établissement seront prises au cas par cas indique l’Education nationale. Le ministère précise que cela peut être la fermeture d’une classe ou la fermeture d’une école, décision prise au plus près du terrain donc par le préfet en lien avec l’ARS, le recteur et en collaboration avec la collectivité territoriale concernée (mairie, département, région selon les cas). Plusieurs critères seront pris en compte comme le nombre de cas confirmés, de cas contacts, la date de survenue des symptômes ou le respect des gestes barrières.
Afin d’éviter des fermetures totales d’écoles, des mesures plus spécifiques pourront être prises dans les zones où le virus circule fortement, comme par exemple, limiter le brassage des élèves au sein de l’établissement. L’ARS pourra décider de la fermeture de l’école si elle estime que trop d’élèves sont considérés à risque à cause de rencontres trop nombreuses dans des locaux trop exigus.
Le gouvernement a annoncé que le congé parental serait possible en cas de fermeture d’une classe ou d’une école. Des solutions seront alors mises en place pour aider les parents et permettre un suivi pédagogique.
Plusieurs conditions seront nécessaires pour mettre en application le dispositif d’arrêt pour garde d’enfants. Une fois la décision de fermeture prise par les autorités administratives compétentes (préfet et ARS), il ne pourra en effet s’appliquer qu’en absence d’un dispositif alternatif de garde qui pourrait être mis en place par l’établissement scolaire ou la mairie. Il faudra aussi qu’aucun des deux parents ne soient en mesure de recourir au télétravail.
Créé par torderes le 27 août 2020 | Dans : A retenir, Ecole
Les écoles de Tordères et de Llauro sont regroupées en Regroupement Pédagogique Intercommunal. Elles accueillent les élèves des villages de Caixas, Montauriol,Tordères et Llauro.
A la rentrée 2020, l’école de Llauro sera composée de deux classes : la maternelle (19 élèves) et le primaire (CP, CE2) (16 élèves). L’école de Tordères accueillera dans sa classe unique les CE1, CM1 et CM2 (13 élèves).
Le fonctionnement des écoles (employés, bâtiments) est géré par le syndicat intercommunal Aspresivos (qui regroupe les mairies des quatre communes).
Les élèves de Llauro mangent au restaurant du village »La table de Llauro » et les enfants de Tordères au restaurant « Le Mona » de l’ESAT à Tordères. La restauration scolaire est de la compétence de la Communauté de Communes des Aspres (formulaire d’inscription téléchargeable sur www.cc-aspres.fr)
Horaires pour l’école de Tordères : 8h40-12h00, 13h50-16h30, le lundi, mardi, jeudi et vendredi (comme vous pouvez le constater, il y a donc un léger changement d’horaires pendant la pause méridienne).
Horaires pour l’école de Llauro : 8h45-11h45, 13h45-16h45, le lundi, mardi, jeudi et vendredi.
Il n’y a plus cours le mercredi mais les centres d’accueil de loisirs sont ouverts à tous les enfants de la Communauté de Communes des Aspres. Renseignements au 04.68.53.73.63.
Le transport scolaire est gratuit et organisé par le Conseil Départemental (demande de carte sur Departement66.fr à partir du mois de juillet)
Pour toute inscription à l’école, veuillez contacter la mairie de Llauro au 04.68.39.40.22. Pièces demandées: Livret de famille, justificatif de domicile, carnet de santé (avec les vaccins DT POLIO à jour), certificat de radiation, jugement de divorce…
Créé par torderes le 26 août 2020 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Ecole, Infos pratiques, Santé
La rentrée scolaire a lieu pour tous les élèves le mardi 1er septembre 2020, et la prérentrée des enseignants le lundi 31 août. Cette rentrée est particulière puisqu’elle suit une année scolaire 2019-2020 fortement perturbée par la pandémie de Covid-19 et les mesures de confinement. La circulaire de rentrée 2020 fait une large place aux priorités pédagogiques de l’après-confinement.
La rentrée 2020 s’inscrit aussi dans la continuité des réformes décidées en 2019 dans la loi pour une école de la confiance et poursuit la mise en œuvre du nouveau baccalauréat.
Lors de la rentrée 2019, l’âge de l’instruction obligatoire a été abaissé à 3 ans (au lieu de 6 ans) et l’école maternelle est ainsi devenue obligatoire. À la rentrée 2020 est instaurée une obligation de formation des jeunes de 16 à 18 ans. Le décret du 5 août 2020 relatif à l’obligation de formation définit les conditions de sa mise en œuvre et les motifs d’exemption. Cette mesure vise les 56 000 jeunes mineurs qui ne sont ni en études, ni en formation, ni en emploi. Tout jeune de 16 à 18 ans devra se trouver dans l’une des situations suivantes :
Le 1er septembre 2020, la rentrée concerne tous les élèves et l’obligation scolaire s’applique pleinement de la maternelle au lycée.
Un guide relatif au fonctionnement des écoles et des établissements scolaires dans le contexte spécifique de la Covid-19 a été publié par le ministère de l’éducation nationale. Il rappelle les règles sanitaires à respecter et leurs modalités d’application :
Localement, en fonction de la circulation du coronavirus, des mesures spécifiques pourront être décidées (limiter le brassage des élèves, par exemple). Dans l’hypothèse où les conditions sanitaires imposeraient le retour à un protocole sanitaire plus strict ou à des fermetures d’établissements scolaires, le ministère a élaboré un plan de continuité pédagogique. Ce plan contient à la fois des consignes sur l’organisation des locaux et des ressources pour l’enseignement numérique à distance.
La circulaire pour la rentrée scolaire 2020 revient sur les conséquences du confinement décidé pour faire face à l’épidémie de Covid-19. La priorité est donnée à l’évaluation des savoirs de chaque élève dès les premiers jours de rentrée dans les différents cycles, pour lutter contre les risques de décrochage scolaire. Dans cette optique, des moyens supplémentaires ont été annoncés :
La circulaire de rentrée précise que, dès le début de l’année scolaire, les besoins des élèves doivent être identifiés. Les enseignants doivent veiller à ce qu’ils maîtrisent les connaissances et les compétences indispensables à la poursuite de leur scolarité. Dès le 14 septembre débutent les évaluations nationales en CP, en CE1 et en 6e.
Dans le contexte de l’après-confinement, le ministère de l’Éducation nationale a défini des priorités pédagogiques pour chaque niveau d’enseignement afin de permettre à chaque élève de consolider ou d’approfondir ses apprentissages :
Pour réduire les écarts entre élèves, le ministère entend intensifier l’accompagnement personnalisé des élèves en difficulté, en particulier dans les classes charnières (CP, 6e, seconde), grâce aux heures d’activités pédagogiques complémentaires (APC) pour les élèves de primaire ou grâce à des aides personnalisées renforcées pour les collégiens.
Le chef d’établissement pourra proposer aux familles un parcours scolaire et périscolaire intégré pour l’enfant (accompagnement personnalisé autour des savoirs fondamentaux) ou encore un parcours scolaire renforcé en lecture effectué pendant le temps de présence à l’école.
Les stages de réussite qui se déroulent en période de vacances scolaires ainsi que le dispositif Devoirs faits sont renforcés. Le dispositif Devoirs faits au collège permet à chaque élève volontaire de bénéficier de 3 heures d’accompagnement aux devoirs par semaine (4 heures pour les élèves de 6e sur la période septembre-octobre). Ces heures sont positionnées dans l’emploi du temps.
Au lycée, l’effort d’accompagnement personnalisé est porté particulièrement sur les élèves de seconde et de première année de CAP.
Par ailleurs, le Plan langues vise à consolider les enseignements de langue et en langue. Il prévoit :
L’année scolaire 2020-2021 voit la mise en application complète du nouveau baccalauréat puisqu’il entre en vigueur pour les élèves de terminale. Il s’applique déjà aux élèves de première depuis la rentrée 2019. Il n’y a plus de séries (L, ES, S) en voie générale mais un tronc commun et des parcours choisis par chaque lycéen en fonction de ses aspirations. Les classes de première et de terminale sont organisées en trois types d’enseignement :
À la rentrée 2020, les enseignements de spécialité sont renforcés en début d’année afin de réduire les éventuels écarts entre élèves liés au confinement.
Pour la session 2021, le baccalauréat est évalué selon deux modalités :
L’épreuve anticipée écrite et orale de français en fin de première est maintenue. Elle a été annulée en juin 2020 à cause de la situation sanitaire. Exceptionnellement, l’évaluation en français se fonde donc, cette année, sur le contrôle continu, c’est-à-dire sur les notes obtenues aux premier et deuxième trimestres.
Selon la note de service du 11 février 2020(nouvelle fenêtre), l’épreuve du grand oral doit « permettre au candidat de montrer sa capacité à prendre la parole en public de façon claire et convaincante. Elle lui permet aussi de mettre les savoirs qu’il a acquis, particulièrement dans ses enseignements de spécialité, au service d’une argumentation, et de montrer comment ces savoirs ont nourri son projet de poursuite d’études, voire son projet professionnel ». L’épreuve se déroule en trois temps :
Pour préparer cette nouvelle épreuve, la circulaire de rentrée précise que la pratique de l’oral va faire l’objet d’une préparation et d’une évaluation dans les différents enseignements. Des formations dédiées au grand oral seront également organisées.
Créé par torderes le 14 août 2020 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Ecole
Cette année, l’allocation de rentrée scolaire (ARS) sera versée le 18 août. Une aide aux moins aisés octroyée par les Caisses d’allocations familiales (CAF) chaque année, à quelques jours de la rentrée. Quel est son montant ? Qui peut en bénéficier ? Quelles sont les démarches à suivre pour percevoir son versement ? Voici ce qu’il faut savoir sur l’ARS.
L’ARS sera remise à 3 millions de familles pour chaque enfant scolarisé né entre le 16 septembre 2002 et le 31 décembre 2014 inclus, ainsi que chaque enfant né après cette date et déjà inscrit en CP. Elle concerne aussi les apprentis.
Elle sera versée aux parents dont les revenus annuels de 2018 étaient inférieurs à 25.093 euros pour un enfant à charge au 31 juillet de cette année, 30.884 euros pour deux enfants à charge ou 36.675 euros pour trois enfants à charge.
Attribuée sous conditions de ressources, l’ARS passe cette année à 469,97 euros pour un enfant âgé de 6 à 10 ans (après 368,84 euros en 2019), à 490,39 euros pour un enfant âgé de 11 à 14 ans (389,19 euros l’an dernier) et à 503,91 euros pour un enfant âgé de 15 à 18 ans (402,67 euros en 2019).
À noter que cette année, l’allocation est exceptionnellement majorée de 100 euros supplémentaires, en raison la crise sanitaire.
Les parents n’ont aucune démarche à accomplir si leurs enfants ont moins de 16 ans. Les Caisses d’allocations familiales (CAF) versent alors automatiquement l’ARS aux familles déjà allocataires qui remplissent les conditions.
Attention pour les enfants entrant en CP cette année mais qui n’auront 6 ans qu’en 2020 : la famille doit récupérer un certificat de scolarité auprès de l’école et l’envoyer à la CAF.
Quant aux parents d’adolescents de 16 à 18 ans, ils n’ont pas l’obligation de fournir un justificatif de scolarité. « Une simple déclaration sur l’honneur » suffit, selon le ministère.
Créé par torderes le 10 juil 2020 | Dans : Affaires sociales, Ecole
L’allocation de rentrée scolaire est versée sous conditions de ressources pour les enfants écoliers, étudiants ou apprentis âgés de 6 à 18 ans.
Elle sera versée à compter du 18 août (délais de traitement bancaires à prendre en compte).
Pour les familles qui sont déjà allocataires :
. 16-18 ans, la déclaration de scolarité, c’est obligatoire et en ligne: Pour les enfants nés entre le 16 septembre 2002 et le 31 décembre 2004 inclus : les familles doivent faire la déclaration de scolarité ou d’apprentissage de leurs enfants. S’ils sont concernés, la Caf les a invités à faire cette démarche.
Ils pourront trouver le nom et les coordonnées de l’établissement scolaire sur http://www.education.gouv.fr/pid24301/annuaire-accueil-recherche.html.
Pour percevoir l’Ars à compter du 18 août, les familles doivent faire leur déclaration en ligne dès que la Caf le leur demande.
. Pour les 6-15 ans, c’est automatique : l’Ars est versée automatiquement si les enfants ont entre 6 et 15 ans et si les conditions sont remplies. Les allocataires n’ont aucune démarche à faire.
. Moins de 6 ans : le certificat de scolarité est nécessaire. Si l’enfant a moins de 6 ans mais entre déjà en CP, les familles doivent transmettre à la Caf un certificat de scolarité à récupérer auprès de l’établissement de l’enfant. Elles ne doivent pas oublier de préciser leur nom, adresse et numéro d’allocataire.
Pour les familles non-allocataires : Si elles pensent pouvoir bénéficier de l’Ars, elles doivent se connecter sur le caf.fr rubrique Services en ligne > Demander une prestation > Les enfants > Allocation de rentrée scolaire, puis télécharger leur demande, la compléter et la renvoyer à la Caf.
Le montant de l’Ars dépend de l’âge de l’enfant :369,95 € par enfant pour les enfants de 6 à 10 ans; 390,35 € par enfant pour les enfants de 11 à 14 ans; 403,88 € par enfant pour les enfants de 15 à 18 ans.
Créé par torderes le 11 mai 2020 | Dans : Ecole
Les classes des écoles de Tordères et Llauro sont prêtes pour accueillir les enfants volontaires du Regroupement Pédagogique Intercommunal.
Pour cette première période s’étalant du 12 au 29 mai 2020, six enfants seront accueillis à l’école de Llauro (CP, CE1) et quatre enfants (CE2, CM2) seront accueillis à celle de Tordères, soit 18% de l’effectif total du RPI.
La réouverture des écoles demande une discipline sanitaire extrêmement rigoureuse de la part des enseignants et du personnel communal.
Tout a été mis en oeuvre pour assurer, au plus près des exigences relatives au protocole sanitaire, la gestion de cette réouverture, tant au niveau matériel (masques, gel hydro-alcoolique, visières, gants et blouses pour les personnels, savon pour les enfants, produit virucide pour la désinfection des classes, etc.) qu’au niveau humain (surveillance renforcée lors des récréations et durant les temps périscolaires de la cantine et de la garderie, désinfection et ménage renforcé, notamment pendant la pause méridienne).
Il est essentiel que chaque élève respecte les gestes barrières, particulièrement la règle de distanciation d’un mètre entre chaque personne.
Les élus invitent donc les parents à participer à la mise en place de ce dispositif en sensibilisant leur enfant aux règles sanitaires.
A noter que pour les parents qui le souhaitent, des masques pourront être mis à disposition des enfants à condition qu’ils soient en mesure de le porter dans des conditions satisfaisantes.
Les parents sont invités à vérifier la température de leur enfant avant de quitter leur domicile. Un enfant ayant une température supérieure à 37,8° devra être gardé à son domicile.
1) Transports :
Pour rappel, les transports scolaires sont une compétence de la Région Occitanie et non pas municipale. L’effectif scolaire étant très réduit, il ne devrait pas y avoir de difficulté pour mettre en place les gestes barrières dans le bus :
- 1 seul enfant de Montauriol prendra le bus allant à l’école de Llauro,
- 4 enfants de Llauro prendront le bus vers l’école de Tordères;
- enfin, 4 enfants de l’école de Tordères se rendront chaque midi à la cantine de Llauro.
2) Garderie de Llauro:
L’effectif de la garderie sera très réduit (4 à 5 enfants).
Le lavage des mains se fera automatiquement en arrivant et en partant de la garderie.
Les parents devront sonner au grand portail et ne seront pas autorisés à rentrer dans l’école de Llauro. Si plusieurs parents arrivent en même temps, il leur sera demandé de respecter une distance d’un mètre entre eux.
Les enfants seront autorisés à apporter une boîte contenant des jouets individuels ainsi que des livres qu’ils ne pourront pas prêter ou échanger.
3) Cantine :
Les enfants des deux écoles mangeront au restaurant de Llauro.
Les enfants de l’école de Tordères prendront le bus pour se rendre à Llauro. Un agent les attendra à l’arrêt et les accompagnera jusqu’au restaurant par la rue des figuiers afin de ne pas croiser les enfants de l’école de Llauro qui seront dans la cour. Ils se laveront les mains et seront installés à l’entrée de la salle puisqu’ils partiront en premier. Dès leur repas pris, ils redescendront, toujours accompagnés, traverseront la cour vide pour reprendre le bus jusqu’à l’école de Tordères où Charlotte Martin les attendra pour les prendre en charge jusqu’à la reprise des cours.
Dans un premier temps, les enfants prendront des repas froids (mais équilibrés et plus élaborés que les pique-niques). Dès que nous aurons la maîtrise de l’organisation et en fonction des moyens humains disponibles, nous basculerons
vers des repas chauds traditionnels.
Nous comptons sur la pleine et entière collaboration des parents d’élèves et souhaitons aux enfants un bon retour à l’école.
Créé par torderes le 04 mai 2020 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Ecole, Equipe municipale et commissions, Infos pratiques, Santé, Transports
Chers parents d’élèves,
Comme vous le savez, le mardi 28 avril, notre Premier Ministre a dévoilé le plan de déconfinement prévu pour notre pays à partir du 11 mai 2020.
Envers et contre l’avis du Conseil Scientifique qui préconisait la réouverture des écoles en septembre, envers et contre l’apparition du syndrome inflammatoire aigu en lien avec le Covid-19 touchant les enfants et entraînant parfois des myocardites, il a été demandé aux élus de mettre en place une réouverture progressive des écoles maternelles et primaires, à partir de cette même date, ceci sur la base du volontariat des parents et selon un encadrement particulièrement drastique.
Le jeudi 30 avril, le ministre de l’Education Nationale a envoyé aux Inspections Académiques départementales un protocole sanitaire à suivre par les enseignants et les services municipaux dans le cadre de la réouverture des écoles.
En cas de reprise de l’école, toute la vie scolaire et périscolaire (cantine et garderie) s’organisera désormais autour des gestes barrières et de la distanciation sociale, ce qui paraît particulièrement difficile à mettre en oeuvre pour les écoliers de la maternelle. Nous avons donc pris la décision de ne pas rouvrir dans l’immédiat la classe de maternelle.
Le protocole implique de suivre une série de préconisations sanitaires détaillées à travers une soixantaine de pages dont nous allons vous résumer les grandes lignes :
1) Le lavage des mains constitue un des gestes barrières essentiels. Du gel hydro-alcoolique sera mis à la disposition des adultes mais pas des enfants (car le Ministère ne le préconise qu’à partir du collège). Il y aura donc, comme cela existait déjà, du savon et des serviettes en papier pour les écoliers qui devront se laver les mains le plus régulièrement possible : à l’arrivée à l’école, avant chaque début de classe et à la fin des cours, avant et après chaque repas, avant et après le passage aux toilettes, à chaque fois que les mains auront pu être souillées, après s’être mouché, avoir éternué, toussé, etc., après manipulation d’objets, etc.
2) Il est demandé qu’une distance minimum d’un mètre entre chaque personne soit respectée dans l’établissement et à ses abords.
A Tordères, par exemple, après calcul effectué par un parent d’élève architecte (tenant compte de la disposition de la salle, des meubles, etc.), seuls 9 enfants pourraient être accueillis.
Un sens de circulation devra être instauré. Dans la mesure du possible, les portes devront rester ouvertes afin d’éviter de toucher les poignées.
Au cours des récréations, les élèves auront pour consigne de ne pas s’échanger de matériel et les jeux de contact et de ballon seront, bien entendu, proscrits. Il ne sera pas facile de faire respecter ces règles de distanciation aux enfants et de faire en sorte que cela ne soit pas trop pesant et anxiogène pour eux. L’enseignante de Tordères a proposé que soient tracés au sol des cercles qui constitueraient une sorte de périmètre restrictif (par ailleurs, elle a proposé qu’ils ne soient pas dessinés à la craie mais plutôt à la peinture, ce qui ne satisfait pas les élus).
Par ailleurs, les parents ne sont pas admis dans l’enceinte de l’établissement.
3) Le port du masque est vivement recommandé pour les adultes (enseignants et personnels municipaux). A ce jour, nous n’avons pas d’autres masques à mettre à leur disposition que ceux que nous ont gentiment cousu des habitants de Tordères et Llauro et nous devrions également recevoir très prochainement des visières pour les équiper. Notez que les masques commandés tardent à arriver car c’est un peu « la course à l’échalote » pour les différentes collectivités et que les ateliers de couture doivent faire face à une multiplication des demandes.
Pour les enfants du primaire, le port du masque n’est pas obligatoire mais ceux qui le souhaitent peuvent en être équipés s’ils sont en mesure de le porter dans des conditions satisfaisantes. Le Ministère a convenu qu’il appartiendrait alors aux parents de fournir ce masque.
4) Les parents devront prendre la température de leur enfant chaque matin avant de l’envoyer en classe, mais les écoles seront également équipées d’un thermomètre au cas où un enfant ou un adulte présenterait des symptômes inquiétants en cours de journée (si le cas se présentait, il existe bien sûr toute une batterie de mesures à mettre en oeuvre que nous vous détaillerons dans le protocole informatif qui sera distribué aux parents en cas de réouverture des écoles).
5) La ventilation et le nettoyage des salles devront être effectués de manière très régulière. Les salles devront être aérées le plus souvent possible (avant la classe, pendant les récréations, etc.) et elles feront l’objet d’une désinfection plusieurs fois par jour (avec un nettoyage à chaque passage des enfants aux toilettes puisque le virus reste actif pendant douze heures dans les selles). Il s’agit d’une désinfection par virucide, un produit désinfectant puissant conforme à la norme EN 14476 ou par lingettes conformes à la même norme, de chaque point de contact du matériel et du mobilier (sol, poignées de portes, de fenêtres, interrupteurs, claviers, etc.). Là encore, c’est la course qui prévaut et toutes les collectivités passent commande de virucide en même temps, mais nous espérons être livrés à temps.
6) Sur la question du repas, le protocole ministériel préconise que chaque enfant mange à sa table de travail mais tolère qu’il en soit autrement. Nous sommes en train de réfléchir à la meilleure façon de procéder en partenariat avec l’UDSIS.
7) La question des transports scolaires n’est pas abordée dans le protocole mais il semble que les enfants devront y respecter le mètre de distanciation réglementaire et y porter un masque (nous ne savons pas encore si nous devrons y installer du gel hydro-alcoolique qui serait utilisé sous la responsabilité d’un adulte).
La question de la multiplication du nombre d’heures passées par les agents au sein de l’école et du surcoût que cela va engendrer n’est, pour l’instant, pas abordée par le Gouvernement qui semble considérer comme acquis que cela soit à la charge des communes. Comme est acquise la responsabilité pénale des maires en cas de plainte des parents ou du personnel à la suite d’une contamination.
Pour les élus municipaux que nous sommes, l’école républicaine est une question prioritaire, ce qui devrait nous conduire presque « automatiquement » à rouvrir les établissements, mais nous avons la responsabilité de ne pas exposer les enfants à un risque sanitaire, et à travers eux, leur famille.
La réouverture des écoles le 11 mai nous paraît prématurée et hasardeuse mais même s’il nous apparaît dangereux de favoriser des regroupements d’enfants et d’adultes (parents, enseignants, agents de service et d’entretien, chauffeur de bus, etc.), nous nous plierons à contrecoeur à la demande de l’Etat car il serait juridiquement difficile de s’y soustraire en plein état d’urgence sanitaire.
Pour ce qui concerne les effectifs, les réponses au questionnaire qui vous a été envoyé font état d’un éventuel retour, sous conditions variées, de :
- 9 CP/CE1/CM1 volontaires sur un effectif total de 17 enfants = 52% de volontaires ;
- 6 CE2/CM1/CM2 volontaires, dont 3 en CM2, sur un effectif total de 19 enfants = moins de 32% de volontaires.
Pour éviter les entrées et les sorties permanentes, l’accueil des écoliers sera contractualisé sur trois périodes : du 12 au 29 mai 2020, du 2 au 19 juin, et du 22 au 3 juillet.
Que vous souhaitiez scolariser votre enfant ou pas, votre position sera considérée pour une période complète.
Une question chagrine les élus municipaux et les fédérations de parents d’élèves. Il s’agit de celle du soi-disant « volontariat » des parents, qui apparaîtrait en fait comme une grossière plaisanterie si, comme il est dit, les règles d’attribution du chômage partiel pour les parents d’élèves venaient à être changées et que, au 1er juin, les parents qui n’enverraient pas leurs enfants à l’école alors que celle-ci pourrait les accueillir ne pourraient plus bénéficier du dispositif de chômage partiel, tandis qu’à défaut, les parents dont les enfants ne pourraient pas retourner à l’école, devraient fournir à leur employeur une attestation de l’école précisant que l’établissement ne peut pas accueillir l’enfant. Cette vision du volontariat n’est pas la nôtre et nous paraît tout à fait intolérable.
Nous vous écrivons cette lettre pour que chacun ait le même niveau d’information et se positionne en pleine connaissance de cause pour pouvoir nous donner son choix définitif quant à un éventuel retour de son enfant en classe.
Pour des questions évidentes de logistique (transports scolaires, commande des repas du midi, etc.), les parents qui ne nous ont pas encore donné leur avis et ceux qui souhaitent modifier leur choix initial devront nous faire parvenir une réponse au plus tard le mardi 5 mai 2020 à 12 h pour la première période de scolarisation prévue du 12 au 29 mai.
Bien entendu, nous reviendrons rapidement vers vous pour vous tenir informés de la suite des événements.
Bien cordialement et espérant que votre famille se porte bien,
Roger TOURNE, maire de LLAURO, Président d’ASPRESIVOS
Maya LESNE, maire de TORDERES, Vice-Présidente d’ASPRESIVOS
Patrick MAURAN, maire de MONTAURIOL
Francis AUSSEIL, maire de CAIXAS
Créé par torderes le 01 mai 2020 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Ecole, Economie locale et associations, Infos pratiques, Santé
La Fédération des Conseils de Parents d’Elèves communique :
Drôle de façon de fêter ce 1er mai, le jour où tous les parents qui avaient posé un arrêt maladie pour s’occuper de leurs enfants se retrouvent… au chômage !
Nos chérubins sont sommés de rentrer en classe, et pour les y aider, on réduit encore un peu plus les revenus de leurs parents. Soyez prévenus : certes, vous aurez le choix de ne pas envoyer vos enfants à l’école, mais dans ce cas vous ne gagnerez plus que 70 % de votre salaire. Le passage obligé de l’arrêt pour garde d’enfant Covid-19 (90 % du brut pour les salariés) à celui du chômage partiel (70 % du brut pour les salariés)… une perte conséquente. Et, cerise sur le gâteau, à partir du 1er juin, il faudra en plus justifier de l’impossibilité pour l’école d’accueillir votre enfant ou produire un certificat médical pour prouver votre vulnérabilité, sinon, ce n’est plus 70 % de votre salaire que vous percevrez, mais… 0 %, donc rien !
Si l’école est l’un des postes les plus importants du budget national, c’est bien parce que tout un chacun participe de cet effort en payant des impôts, directs ou indirects. Tout un chacun, c’est aussi bien évidemment les parents. Qui, en échange de cette participation financière espéraient jusqu’à présent en la promesse, souvent non tenue, d’un avenir meilleur pour leur enfant et, à tout le moins, d’une instruction à peu près gratuite et très obligatoire. Puis, l’épidémie ravageant l’ensemble de nos pays, et en particulier le nôtre, il a été demandé de faire une pause. Les parents, soucieux de participer à l’effort de la Nation et de préserver la santé de leurs enfants, comme de la leur, ont dans un bel ensemble accepté de « faire la classe à la maison ». A juste titre sommées de rester chez elles, la plupart des familles ont joué le jeu, en lien avec des enseignants eux aussi pris au dépourvu d’un enseignement à distance pour lequel ils n’avaient jamais été ni équipés ni formés.
Le virus étant bien plus complexe que prévu, désormais nous savons qu’en attendant un vaccin nous devrons tous appliquer des gestes barrières et sanitaires. Las, ces règles de survie collective ne s’accommodent guère d’effectifs surchargés, de sanitaires vétustes, de personnels en sous-effectifs. Malgré tout, le gouvernement, obligé de remettre le plus grand nombre au travail, a organisé une rentrée peut-être trop précoce, sûrement désorganisée. Dans tous les cas, tous devront faire avec cette équation : il sera impossible d’accueillir en même temps tous les élèves et il sera possible pour les parents qui douteront de la sécurité de l’accueil proposé de poursuivre « l’école à la maison ».
Curieusement, ce même gouvernement vient de nous apprendre que la possibilité de garder un enfant chez soi serait soumise à l’impossibilité pour l’école de garder ce même enfant… Voilà. Autrement dit, quand vous avez plusieurs enfants, avec un peu de malchance, ils ne seront pas dans les mêmes « groupes de scolarisation » durant les mêmes semaines. Il vous faudra alors passer votre temps à demander aux établissements scolaires des attestations, toutes les semaines… Comme si les établissements, les employeurs et les parents, n’avaient rien d’autre à faire en cette période ! Comme si l’usage des pratiques harcelantes était la bonne idée du moment !
En clair, l’État a choisi d’inverser la faute : le parent doit justifier du bienfondé de son choix, alors même que l’Etat n’est pas en capacité d’assurer une rentrée dans de bonnes conditions…
Alors même que l’État n’est pas en capacité d’assurer une rentrée dans de bonnes conditions pour tous, nous demandons qu’une prise en charge financière, sans aucune perte de salaire, soit rétablie pour tous les parents qui souhaiteront ou devront s’occuper de leurs enfants jusqu’à ce que la situation sanitaire de notre pays permette un retour à l’école serein, humain et sécurisant.
Soutenez notre demande en signant notre pétition :