Santé
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Créé par torderes le 25 mar 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Environnement, Infos pratiques, Santé
La Préfecture des Pyrénées-Orientales communique :
Rodrigue Furcy, préfet des Pyrénées-Orientales, a réuni les représentants des élus, du monde économique et agricole, des associations pour évoquer la situation de la ressource en eau et engager les actions qui s’imposent.
Cette réunion intervenait au lendemain d’un nouveau «comité ressources en eau» qui a confirmé les vives préoccupations concernant l’accès à l’eau en 2023 et le placement de l’ensemble du département en alerte renforcée.
Dans ce contexte, l’État, le conseil départemental, l’association des maires, les syndicats de gestion de l’eau et les chambres consulaires (commerce et industrie, métiers et artisanat, agriculture) ont décidé de s’engager ensemble sur un plan d’urgence et de responsabilité :
I-Gérer l’urgence et se préparer pour faire face aux effets de la sécheresse
II- Réduire, le plus vite possible, la consommation d’eau de manière significative
III- Avancer sur des solutions de moyen terme
A lire pour rappel : Préservation de la ressource eau – mesures de restrictions sur l’usage de la ressource en eau
Créé par torderes le 23 mar 2023 | Dans : A retenir, Environnement, Infos pratiques, Santé
Les chenilles processionnaires ne cessent de gagner du terrain en France, représentant un véritable risque en raison de leur forte capacité urticante.
Les chenilles processionnaires sont les larves d’un papillon de nuit, le Thaumetopoea pityocampa, elles appartiennent à la famille des lépidoptères et connaissent différents stades de développement. Si l’état de chenille dure entre 6 à 8 mois, le papillon de nuit ne vit que quelques heures. Les papillons apparaissent fin juillet à mi-septembre, ils pondent dans les arbres, essentiellement les pins avec une nette préférence pour les pins noirs d’Autriche, et donnent naissance aux chenilles. Les processionnaires du pin sont brunes avec des taches orangées et recouvertes de poils.
Elles vivent en colonie et se déplacent en faisant un fil de soie. Elles se nourrissent la nuit des pousses tendres des aiguilles de pins. Quand les températures deviennent basses, en décembre, la colonie se sédentarise du côté le plus ensoleillé de l’arbre. Leurs allées et venues créent le cocon qui s’épaissit au fur et à mesure. Elles passent la journée bien au chaud dans ce nid et sortent la nuit en file indienne pour se nourrir.
Fin février début mars, le cycle de la chenille se termine et un matin toute la colonie quitte le nid pour rejoindre la terre. C’est à ce moment-là qu’on voit les processions de chenilles, qui font parfois jusqu’à plusieurs mètres de long. Elles cherchent un endroit pour s’enfouir dans la terre, viendront ensuite les chrysalides qui donneront les papillons.
Elles sont présentes sur tout le pourtour méditerranéen. En fonction de la température, on peut observer près d’un mois de décalage entre le littoral et la plaine.
Chaque année, les chenilles processionnaires gagnent du terrain et remontent, notamment en raison du réchauffement climatique. On les retrouve maintenant jusqu’à 1500 mètres d’altitude en montagne, dans le massif central, en région parisienne, etc. Elles recherchent la chaleur et vont donc s’adapter aux matériaux présents en ville, on les voit aussi fréquemment le long des autoroutes. Les mues se produisent à des périodes différentes selon les régions et en fonction de l’humidité, la température et l’amplitude thermique.
Les chenilles sont recouvertes de poils qui abritent des petites poches libérant, en cas de stress, une toxine urticante et allergisante, particulièrement volatile. Celle-ci se retrouve également dans le nid et reste active assez longtemps. C’est au dernier stade de mue que la chenille est la plus chargée en cette toxine.
Le contact avec cette substance urticante peut provoquer différentes réactions, de la simple démangeaison à la brûlure plus vive, mais aussi des éruptions cutanées, érythème, prurit et même réaction de type œdème de Quincke ou choc anaphylactique. La multiplication des contacts peut amplifier les réactions au fil du temps. Attention à ne pas se frotter les yeux. Chez l’homme, certaines professions sont plus exposées, notamment les jardiniers, élagueurs et toutes les personnes réalisant des travaux forestiers. On a également observé des cas de détresse respiratoire et de brûlures des yeux chez des joueurs de rugby en contact avec une pelouse infestée.
Les animaux, notamment les chiens sont particulièrement exposés. S’ils mettent leur truffe sur une chenille, la toxine provoque la nécrose des muqueuses. Si l’animal l’avale cela peut s’avérer mortel. Il faut rincer le plus rapidement possible sa gueule à grande eau, idem pour ses « jouets ». Mieux vaut contacter rapidement le vétérinaire, il n’est pas rare qu’il doive couper un morceau de langue ou de babine.
Si vous avez un arbre infesté chez vous, le mieux est de l’équiper d’un écopiège. L’entreprise catalane La mésange verte a mis au point un système de lutte écologique qui permet de collecter les chenilles sans danger. Elle est leader sur le marché. Il s’agit d’une sorte de collier qui se met autour de l’arbre. Quand les chenilles décident de descendre, elles se retrouvent dans un sac qui contient de la terre et s’y enterrent. Il faut ensuite évacuer ce sac dans un sac-poubelle pour qu’il soit incinéré avec les ordures ménagères. Un piège peut être utilisé pendant 3 ou 4 ans en changeant de sac chaque année.
Si la procession de chenille est passée dans votre jardin ou sur la terrasse, il faut laver au jet d’eau pour évacuer les poils. Si vos vêtements ont été contaminés, il faut les enlever délicatement pour ne pas projeter la matière volatile et les laver à 60°. Il ne faut pas tondre la pelouse après le passage d’une colonie au risque de disperser la substance urticante plus largement. Veiller à ne pas installer d’étendoir à linge ou la niche du chien sous un arbre infesté.
Créé par torderes le 08 mar 2023 | Dans : A retenir, Economie locale et associations, Infos pratiques, Santé
Pour lutter contre les déserts médicaux, le Groupement d’Intérêt Public (GIP) « Ma santé, Ma Région » (une structure partenariale associant la Région Occitanie, d’autres collectivités locales et les universités de médecine) a pour objet d’embaucher des médecins généralistes, de créer puis gérer les centres de santé permettant l’exercice salarié.
Pour exercer dans le Centre de Santé de Fourques, le GIP recherche des docteur(e)s en médecine, inscrits à l’ordre des médecins, s’intéressant à l’exercice coordonné des soins de premiers recours.
Début de contrat : dès que possible.
Contrat CDD ou CDI, 35h par semaine avec 5 semaines de congés payés ou équivalent + gardes au titre de la PDSA.
Missions principales : assurer les consultations programmées et non programmées au centre ou au domicile des patients, mettre en place un suivi médical personnalisé, assurer la continuité des soins en coordination avec l’équipe médicale, organiser des parcours de soins coordonnés, organiser des réunions de concertations pluriprofessionnelles, accueillir et encadrer des étudiant.es en médecine, et participer à la permanence des soins ambulatoires (PDSA).
Organisation et temps de travail : le temps de travail sera centré sur l’exercice médical, un secrétariat médical sera dédié au centre de santé. Les locaux sont intégralement équipés et entretenus. Un véhicule de service sera fourni pour les visites à domicile. Le travail d’équipe coordonné associera 3 à 8 médecins et autres professionnel.les de santé. L’équipe de coordination du GIP est dynamique et disponible. Il existe des possibilités de formations. L’exercice médical sera compatible avec la vie privée.
Les locaux sont neufs et pleinement adaptés, avec vue sur la montagne, pour accueillir l’équipe médicale et permettre l’exercice coordonné sur l’ensemble du bassin de vie avoisinant la commune.
Contacts :
Alicia MONTOYA
Assistante de direction du GIP Ma santé, Ma Région
Mail : alicia.montoya@masantemaregion.fr
Téléphone : 05 61 39 66 87
Camille TOUCHAIS
Chargée de développement de centres de santé de Ma Région
Mail : camille.touchais@masantemaregion.fr
Téléphone : 06 30 19 98 23
Tous les renseignements et la fiche d’inscription sont disponibles sur https://www.laregion.fr/Recrutement-de-medecins-generalistes-pour-le-Centre-de-Sante-de-Ma-Region-a-Fourques
Créé par torderes le 07 mar 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Communauté de Communes des Aspres, Environnement, Infos pratiques, Santé
Le département est en alerte renforcée car les nappes souterraines sont au même niveau que si nous étions fin août.
Les nappes souterraines de la plaine de Roussillon, ressource primordiale du département pour de nombreux usages, dont l’eau potable, sont dans un état dégradé. La reconstitution des stocks d’eau, cruciale en hiver, n’a pas eu lieu et la situation des nappes continue de se détériorer.
Nous devons tous agir pour éviter des coupures d’eau. Faisons preuve de civisme.
Respectons les mesures de restriction (tous les usages dits «d’agrément» sont désormais interdits : arrosage des pelouses, jardins, espaces verts, y compris les potagers, nettoyage des terrasses, façades, voitures, bateaux, douches de plage, remplissages et mise à niveau des piscines des particuliers, etc.).
Créé par torderes le 02 mar 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
L’ARS lance un appel à tous les habitants de la région Occitanie à prendre la parole sur leur santé, dans le cadre d’une première consultation citoyenne ouverte à tous jusqu’au 31 mars 2023, sur le site: https://jeparticipe.occitanie.ars.sante.fr/
Créé par torderes le 01 mar 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Economie locale et associations, Infos pratiques, Santé
Qu’est-ce que le PROGRAMME D’INTERET GENERAL ?
C’est une opération incitative qui permet aux habitants de bénéficier de subventions, de l’ANAH, du Département, pour la réalisation de travaux d’amélioration et/ou d’adaptation de leur logement, et de profiter d’un accompagnement personnalisé gratuit.
Elle concerne l’ensemble du territoire départemental (excepté les communes de la communauté urbaine de Perpignan Méditerranée).
Les aides financières sont délivrées sous réserve d’éligibilité au regard de la nature des travaux :
- Votre résidence principale : Suivant vos ressources et les travaux envisagés, vous pouvez bénéficier de 35 à 70 % d’aides sur le montant des travaux HT dans la limite d’un certain plafond.
- Votre logement locatif ou vacant : Sans conditions de ressources, les aides varient de 35% à 45% selon le niveau de dégradation du logement et sur le montant des travaux HT dans la limite d’un certain plafond. Une défiscalisation sur les revenus fonciers selon le loyer pratiqué et en cas d’intermédiation locative.
- Votre immeuble est en copropriété : des travaux dans les parties communes sont également financés.
Le Conseil Départemental met gratuitement à votre disposition une équipe de spécialistes de l’habitat (techniciens, conseillers…) : SOLiHA 66 : 04 49 24 01 58.
Cette équipe vous accompagne pendant toute la durée de l’opération.
Permanence du PIG « Mieux se loger » du Conseil Départemental à la Maison France Services de Thuir, les Vendredis 14 avril, 9 juin & 7 juillet 2023, de 9h00 à 12h00. Contact : 04 49 24 01 58 / mail : mieuxseloger.66@soliha.fr
Pour vous informer et vous accompagner, Soliha, 23 rue François Broussais, 66100 Perpignan, Tél : 04.49.24.01.58. mieuxseloger.66@soliha.fr
Créé par torderes le 22 fév 2023 | Dans : Environnement, Santé
Cette année, les pollens ont proliféré très tôt, accentuant le risque d’allergie, comme on peut le constater sur la carte actualisée chaque jour par le réseau national de surveillance aérobiologique.
Les pollens de cyprès (de la famille des Cupressacées) sont de plus en plus présents dans l’air sur le pourtour méditerranéen et surtout lors des journées venteuses, douces et ensoleillées. Les températures très clémentes de la semaine dernière ont accéléré le phénomène.
Le pollen de cyprès est particulièrement incommodant, le plus redouté est le cyprès commun-cyprès de Provence (Cupressus sempervirens) qui borde souvent allées et jardins.
Les concentrations de pollens de cyprès vont continuer d’augmenter dans les semaines à venir pour atteindre un pic fin février. « Seul le retour de la pluie pourra apporter un répit temporaire aux allergiques », indique le réseau. Les allergiques doivent suivre les traitements prescrits par leur médecin et limiter leur exposition aux pollens.
Il existe plusieurs astuces pour se protéger : se laver les cheveux le soir, aérer les pièces avant le lever du soleil et après son coucher, éviter les facteurs aggravants (tabac, parfums, encens, bougies, produits d’entretien), ne pas jardiner ni pratiquer de sport en extérieur, ne pas étendre le linge dehors, garder les vitres fermées en voiture. Pour les activités en extérieur indispensables, mieux vaut porter des lunettes couvrantes et un masque.
Créé par torderes le 16 jan 2023 | Dans : A retenir, Santé
En 2022, les sapeurs-pompiers du SDIS des Pyrénées-Orientales sont intervenus 5 fois à Tordères, exclusivement dans le cadre du secours à personne.
Qu’ils soient ici vivement remerciés pour leur dévouement et leur courage, avec une pensée toute particulière pour les équipes des centres de secours et d’intervention des Aspres et du Boulou qui viennent régulièrement à la rescousse des habitants de Tordères.
Créé par torderes le 23 déc 2022 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
Avec la baisse des températures, les risques d’intoxication au monoxyde de carbone (CO) augmentent, en lien avec l’utilisation des appareils de chauffage. Chaque année, environ 1 300 épisodes d’intoxications au CO survenus par accident et impliquant près de 3 000 personnes sont déclarés aux autorités sanitaires. Invisible, inodore et non irritant, le monoxyde de carbone est indétectable. Des gestes simples contribuent pourtant à réduire les risques. Une attention particulière doit être portée sur le bon usage des chauffages mobiles d’appoint à combustible et le non recours à des moyens de chauffage de fortune, qui sont particulièrement à risque.
Les appareils utilisant des combustibles (gaz naturel, bois, charbon, fuel, butane, propane, essence ou pétrole etc.) pour la production de chaleur ou de lumière sont tous susceptibles, si les conditions de leur fonctionnement ne sont pas idéales, de produire du monoxyde de carbone (CO).
Avant l’hiver, faites systématiquement vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude, ainsi que les conduits de fumée (ramonage mécanique) par un professionnel qualifié dans votre résidence principale et secondaire le cas échéant ;
Aérez au moins 10 minutes par jour votre logement, même s’il fait froid ;
Maintenez vos systèmes de ventilation en bon état de fonctionnement et n’obstruez jamais les entrées et sorties d’air ;
Respectez systématiquement les consignes d’utilisation des appareils à combustion indiquées par le fabricant : n’employer que le combustible préconisé, ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu ; placez impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments ; ne jamais utilisez pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero, barbecue, etc.
En collectivité, il convient d’être particulièrement attentif : les intoxications liées à l’utilisation de chauffages à gaz sont fréquentes.
Les symptômes – maux de tête, fatigue, nausées – apparaissent plus ou moins rapidement et peuvent toucher plusieurs personnes au sein d’un même foyer. Une intoxication importante peut conduire au coma et à la mort, parfois en quelques minutes. Il faut donc agir très vite.
En cas de suspicion d’intoxication :
Aérez immédiatement ;
Arrêtez si possible les appareils à combustion ;
Evacuez les locaux ;
Et appelez les secours en composant le 15, le 18 ou le 112 (et le 114 pour les personnes malentendantes).
La prise en charge des personnes intoxiquées doit intervenir rapidement, dès les premiers symptômes, et peut nécessiter une hospitalisation.
Créé par torderes le 02 déc 2022 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
Avec un taux d’incidence de près de 500 cas pour 100 000 habitants, la France connaît une 9ème vague de l’épidémie de Covid 19 et les cas positifs augmentent régulièrement dans la totalité des régions du pays.
Face à cette hausse des cas, voici un petit rappel de la conduite à tenir et des droits de chacun alors que les règles ont changé par rapport aux premières vagues.
Les personnes positives disposant d’un schéma vaccinal complet et à jour et pour les enfants de moins de 12 ans, l’isolement est d’une durée de 7 jours (pleins) à compter de la date du début des symptômes ou de la date du prélèvement du test positif.
Cependant, au bout de 5 jours, la personne positive peut sortir d’isolement si elle a effectué un test antigénique ou PCR négatif ou si elle n’a plus de signes cliniques d’infection au SARS-CoV-2 depuis 48h.
Pour les personnes positives ayant un schéma vaccinal incomplet et non-vaccinée, l’isolement est de 10 jours (pleins) à compter de la date du début des symptômes ou de la date du prélèvement du test positif.
Le malade peut sortir d’isolement au bout de 7 jours en cas de test négatif ou sans signes cliniques d’infection depuis 48h.
Les autorités indiquent que le respect des gestes barrières (port du masque et mesures d’hygiène) est à respecter pendant les 7 jours suivant la sortie d’isolement du cas positif quel que soit le schéma vaccinal.
Depuis le 21 mars 2022, les personnes contacts à risque, quel que soit leur statut vaccinal, ne sont plus tenues d’observer une période d’isolement mais elles doivent appliquer de manière stricte les mesures barrières, et notamment le port du masque en intérieur et en extérieur au contact d’autres personnes ; limiter leurs contacts, en particulier avec des personnes fragiles ; éviter tout contact avec des personnes à risque de forme grave et télétravailler dans la mesure du possible.
En outre, les personnes contacts à risque doivent réaliser un test à J+2 de la notification du statut de contact.
En cas de test positif, que vous soyez salarié ou agent public, vous devez déclarer, auprès de l’Assurance maladie, votre maintien à domicile. Vous n’avez pas besoin de solliciter votre médecin traitant pour cela et vous pouvez remplir la déclaration en ligne en suivant ce lien.
L’arrêt de travail est sans délai de carence.
Depuis le 31 juillet 2022, le dispositif d’activité partielle pour les salariés devant garder leur enfant et ne pouvant pas télétravailler a pris fin.
Ainsi si votre enfant de moins de 16 ans ou handicapé (quel que soit son âge) a été testé positif et si vous devez le garder, vous pouvez soit télétravailler, en accord avec votre employeur ou poser un congé enfant malade.
Vous devrez obligatoirement fournir un certificat médical constatant la maladie de votre enfant pour bénéficier de ce congé et le transmettre à votre employeur dans les meilleurs délais.