Santé

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Ne manquez pas Cyclo’Moov, la grande fête du vélo des Aspres

Créé par le 21 avr 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Environnement, Infos pratiques, Santé

La Communauté des Communes des Aspres (CCA) et ses partenaires vous proposent de venir découvrir le vélo sous toutes ses formes les samedi 4 et dimanche 5 mai 2024.

Durant cet événement gratuit et ouvert à tous, plusieurs animations seront proposées sur le territoire des Aspres (balade à vélo, initiation et démonstration de BMX, atelier de réparation, apprentissage du vélo et de la sécurité routière, manège à pédale, etc.). 

Retrouvez le programme en format papier à la mairie ou en cliquant sur le lien suivant : https://www.cc-aspres.fr/cyclo-moov/

Amiante : de nouvelle maladies désormais reconnues comme maladies professionnelles

Créé par le 16 avr 2024 | Dans : Santé

De nombreuses personnes ont pu être exposées à des émissions de fibres d’amiante notamment dans l’industrie et le bâtiment. Il peut s’agir par exemple de la fabrication de textiles non inflammables.

Cette exposition professionnelle à l’amiante peut entraîner certaines maladies pour les travailleurs encore en activité ou retraités : atteinte cancéreuse du larynx chez l’homme et chez la femme et atteinte cancéreuse de l’ovaire chez femme.

Les maladies suivantes peuvent désormais être reconnues comme maladie professionnelle (tableau 30 Ter) :

  • cancer primitif du larynx ;
  • dysplasie primitive de haut grade du larynx ;
  • cancer primitif de l’ovaire à localisation :
    • ovarienne ;
    • séreuse tubaire ;
    • séreuse péritonéale.

L’apparition de la maladie survient en moyenne 35 ans après le début de l’exposition et concerne aussi bien les travailleurs encore en activité et les retraités.

En savoir plus sur les maladies non cancéreuses et les cancers dus à l’amiante

En savoir plus sur les cancers des voies aérodigestives supérieures et le cancer du larynx

Comment faire la démarche pour demander une reconnaissance en maladie professionnelle ?

Si l’on pense être atteint d’une de ces maladies du fait de son activité professionnelle, la démarche à suivre pour la demande de reconnaissance en maladie professionnelle se déroule en 3 étapes.

  1. Demander à son médecin traitant d’établir un certificat médical initial (CMI) qui décrit précisément : la maladie (diagnostic, stade, localisation…) ; la date à laquelle les premiers symptômes sont apparus, même s’ils sont apparus avant le diagnostic.
  2. Remplir le formulaire S6100B « Déclaration de maladie professionnelle » (PDF) à envoyer à sa caisse d’assurance maladie, à l’attention du médecin-conseil avec la mention « Confidentiel ». Il faut aussi joindre à ce formulaire le certificat médical initial et une copie des comptes rendus d’examens médicaux ayant permis de confirmer le diagnostic de la maladie.
  3. La caisse d’assurance maladie analyse la demande et peut demander des compléments d’informations, notamment à travers le site internet du questionnaire risque professionnel.

En savoir plus sur les démarches concernant la maladie professionnelle

Voir le tableau et les travaux concernés sur le site inrs.fr

Grande enquête sur les conditions du vieillissement dans les Aspres

Créé par le 13 mar 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé

La MSA Grand Sud et la Communauté de Communes des Aspres ont signé en 2023 une Charte des Solidarités avec les Aînés. Le premier objectif de cette Charte est l’élaboration d’un diagnostic des besoins des aînés (+ de 65 ans) sur l’ensemble du territoire, diagnostic qui devra ensuite aboutir sur un plan d’actions à destination de nos seniors.
Les actions couvriront des champs divers au service des habitants du territoire et de Tordères :
• Soutien au lien social et aux solidarités de proximité
• Valorisation des engagements et de l’expérience des ainés
• Prévention du vieillissement en bonne santé
• Développement de services de proximité
Afin de faciliter le recueil des besoins, le questionnaire d’enquête est disponible à l’accueil de la mairie ou en ligne en cliquant sur le lien : https://forms.gle/XSSy9BsXDRR6cXAq7
Vous pouvez y répondre jusqu’au 26 avril 2024 au plus tard.

Infection urinaire : faire un test en pharmacie est désormais possible

Créé par le 10 jan 2024 | Dans : Santé

En cas de suspicion d’une infection urinaire, une cystite par exemple, il est désormais possible, pour les femmes âgées de 16 à 65 ans, de réaliser un test de dépistage directement en pharmacie, sans forcément voir un médecin ou une sage-femme au préalable.

Deux cas de figure :

Cas n°1 : La personne se rend directement en pharmacie pour demander de faire un test avec une bandelette urinaire. Au préalable, le pharmacien vérifie après d’elle que ses symptômes correspondent à ceux d’une infection urinaire et que la patiente ne présente pas de signe de gravité (par exemple une température corporelle supérieure à 38°C ou inférieure à 36°C, douleurs au niveau des flancs, abdominales, etc.). Ces vérifications faites, le pharmacien remet à la personne un test urinaire à utiliser dans les sanitaires de la pharmacie.

En cas de résultat positif de la bandelette urinaire, le pharmacien oriente la patiente vers son médecin ou sa sage-femme qui pourra lui prescrire un médicament adapté.

Cas n°2 : La personne est orientée vers la pharmacie par son médecin pour réaliser le test. Si le médecin lui a remis une ordonnance dite «conditionnelle», c’est-à-dire précisant que la délivrance des médicaments ne sera faite qu’en fonction des résultats du test, le pharmacien délivrera directement à la patiente le traitement antibiotique inscrit sur l’ordonnance en cas de test positif. Inutile de consulter une seconde fois son médecin.

En cas de test négatif, le pharmacien exclut le diagnostic d’une infection urinaire : il permet d’éviter une prescription inutile d’antibiotiques.

À noter : quelle que soit la situation, le pharmacien envoie les conclusions du dépistage (test positif ou négatif, éventuelles alertes…) au médecin traitant ou à la sage-femme de la patiente.

Comment se passe la réalisation du test de la bandelette urinaire ?

Le pharmacien donne le test urinaire à la patiente. En pratique, il s’agit d’un flacon dans lequel la personne doit uriner. Elle le remet ensuite au pharmacien pour qu’il mette ensuite la bandelette dedans pour lire le résultat. Une fois le test réalisé, selon la couleur que prend cette bandelette, le pharmacien saura s’il s’agit d’une infection urinaire – cystite – nécessitant un traitement antibiotique prescrit par un médecin ou une sage-femme.

Quel est le coût du test urinaire (cystite) ?

Dans les 2 cas, le test est réalisé en pharmacie. Son coût est de 6 euros dont 70 % sont pris en charge par l’Assurance Maladie et les 30 % restants couverts par l’assurance maladie complémentaire (mutuelle, assurance…).

Gare au au monoxyde de carbone

Créé par le 04 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé

En période hivernale, les risques d’intoxication au monoxyde de carbone (CO) augmentent, en lien avec l’utilisation des appareils de chauffage. Chaque année en France, environ 1 300 épisodes d’intoxications au CO surviennent par accident impliquant près de 3 000 personnes. Invisible, inodore et non irritant, le monoxyde de carbone est indétectable. Des gestes simples contribuent pourtant à réduire les risques.

Pour limiter les risques d’intoxication, adoptez les bons gestes

Les appareils utilisant des combustibles (gaz naturel, bois, charbon, fuel, butane, propane, essence ou pétrole etc.) pour la production de chaleur ou de lumière sont tous susceptibles, si les conditions de leur fonctionnement ne sont pas idéales, de produire du monoxyde de carbone (CO).

> Avant l’hiver

Faites systématiquement vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude, ainsi que les conduits de fumée (ramonage mécanique) par un professionnel qualifié dans votre résidence principale et secondaire le cas échéant ;

> Toute l’année et particulièrement pendant la période de chauffe

  • Aérer au moins 10 minutes par jour votre logement, même s’il fait froid ;
  • Maintenez vos systèmes de ventilation en bon état de fonctionnement et n’obstruez jamais les entrées et sorties d’air ;
  • Respectez systématiquement les consignes d’utilisation des appareils à combustion indiquées par le fabricant: ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu ; placer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments ;
  • ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero, barbecue, etc.

En collectivité, il convient d’être particulièrement attentif : les intoxications liées à l’utilisation de chauffages à gaz sont fréquentes.

Comment reconnaître une éventuelle intoxication au monoxyde de carbone ?

> Réagir rapidement : aérer et appeler les secours

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz asphyxiant indétectable : il est invisible, inodore et non irritant. Maux de têtes, nausées, fatigue, sont les symptômes qui doivent alerter. Si ces symptômes sont observés chez plusieurs personnes dans une même pièce (ou au sein du même foyer) ou qu’ils disparaissent hors de cette pièce , cela peut être une intoxication au monoxyde de carbone. Dans ce cas, il est nécessaire d’aérer, d’évacuer le lieu et d’appeler les urgences en composant le 15 ou le 112.

Une intoxication importante peut conduire au coma et à la mort, parfois en quelques minutes. Il faut donc agir très vite. En cas de suspicion d’intoxication :
    • Aérez immédiatement ;
    • Arrêtez si possible les appareils à combustion ;
    • Évacuez les locaux ;
    • Et appelez les secours en composant le 15, le 18 ou le 112 (et le 114 pour les personnes malentendantes).
La prise en charge des personnes intoxiquées doit intervenir rapidement, dès les premiers symptômes, et peut nécessiter une hospitalisation.
Chaque année, environ 1 300 épisodes d’intoxications au CO survenus par accident et impliquant près de 3 000 personnes sont déclarés aux autorités sanitaires.

MaPrimeAdapt’, une aide unique à l’adaptation des logements

Créé par le 03 jan 2024 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé

Depuis le 1er janvier 2024, MaPrimeAdapt’ vous aide à financer vos travaux d’adaptation de votre logement. Objectif de cette aide unique pour l’adaptation des logements : permettre aux personnes en situation de handicap ou en perte d’autonomie, remplissant les conditions d’attribution, de rester vivre chez elle. Comment ? En leur permettant de financer des travaux d’adaptation de leur logement grâce à l’aide MaPrimeAdapt’.

Attribuée sur conditions de ressources, MaPrimeAdapt’ s’adresse :

  • aux personnes en situation de handicap justifiant d’un taux d’incapacité supérieur ou égal à 50 % ou éligibles à la prestation de compensation du handicap (PCH) ; 
  • aux personnes entre 60 et 69 ans en perte d’autonomie précoce justifiant d’un niveau de GIR (groupe iso-ressources) de 1 à 6 ;
  • aux personnes âgées de 70 ans et plus, quel que soit leur niveau de dépendance ou d’autonomie.

Pour en bénéficier vous devez être propriétaire occupant ou locataire du parc privé pour votre résidence principale sans condition d’ancienneté.

Avec l’ambition de prévenir les chutes et situations de fragilités dans le logement pour tous les publics en perte d’autonomie, cette nouvelle aide vous permettra de financer différents travaux d’adaptation intérieurs et extérieurs, comme par exemple :

  • travaux intérieurs : monte-escalier, aménagement de salle de bain,WC surélevés et barre d’appui, aménagement de cuisine, éclairage à détection de mouvement…
  • travaux extérieurs : rampe d’accès vers l’entrée du pavillon, place de parking PMR (personnes à mobilité réduite), installation de volets roulants, élargissement de la porte d’entrée.

Dans la limite d’un plafond de travaux de 22 000 euros hors taxes et selon le niveau de revenus de votre ménage, MaPrimeAdapt’ peut financer jusqu’à 50 % ou 70 % du montant de vos travaux d’adaptation.

Retrouvez toutes les informations en cliquant ici : https://www.monparcourshandicap.gouv.fr/actualite/maprimeadapt-une-aide-unique-ladaptation-des-logements-depuis-le-1er-janvier-2024

Adopter les bons réflexes pour se protéger du froid

Créé par le 29 déc 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Santé

Par temps froid, et notamment face aux températures négatives prévues en France métropolitaine ces prochains jours, il est important d’adopter des mesures pour se protéger, à l’extérieur comme à l’intérieur. Il faut redoubler de vigilance pour les personnes les plus vulnérables : nouveau-nés, seniors et certains malades chroniques.

Les bons réflexes contre le froid chez soi

Pour lutter contre les risques liés au grand froid au sein de son domicile, les précautions à adopter sont les suivantes :

  • ne pas surchauffer son logement, maintenir une température ambiante raisonnable (autour de 19 °C) ;
  • fermer les pièces inutilisées afin d’y conserver la chaleur ;
  • aérer régulièrement quelques minutes par jour ;
  • ne pas obstruer les bouches d’aération.

Pour lutter contre le froid, il convient par ailleurs de garder une alimentation équilibrée et de boire beaucoup d’eau et de boissons chaudes. Les chauffages d’appartements notamment peuvent contribuer à la déshydratation.

À noter : contrairement aux idées reçues, la consommation d’alcool ne réchauffe pas. Elle présente un danger en atténuant les signaux d’alerte du froid.

Les bons réflexes contre le froid à l’extérieur

Il est nécessaire de limiter les activités en extérieur, en particulier le soir et la nuit et pour les plus fragiles :

  • personnes âgées, en raison d’un métabolisme ralenti, d’une moindre activité physique et d’une alimentation ou hydratation insuffisante ;
  • très jeunes enfants de 0 à 2 ans car ils perdent leur chaleur plus facilement que les adultes ;
  • malades chroniques atteints d’asthme, d’insuffisance respiratoire ou cardiaque, le grand froid pouvant entraîner une aggravation de maladies préexistantes ;
  • personnes à mobilité réduite.

À noter : il convient de garder le contact avec ses proches, donner de ses nouvelles et en prendre auprès des personnes vivant seules.

Lorsqu’il est impératif de se rendre dehors, il faut veiller avant de sortir à adapter sa tenue :

  • se couvrir la tête et le cou en portant son écharpe devant le nez et la bouche ;
  • préserver les extrémités en portant des gants et des chaussures suffisamment larges pour que les orteils puissent bouger et si possible avec semelles antidérapantes afin d’éviter le risque de chute ;
  • superposer plusieurs couches de vêtements, notamment parce que la couche d’air entre chaque vêtement joue un rôle d’isolant.

Grippe et Covid-19 : il est encore temps de se faire vacciner avant les fêtes

Créé par le 11 déc 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Santé

Pour la semaine du 4 au 10 décembre, les données de Santé publique France indiquent une augmentation des indicateurs grippe/syndrome grippal, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur est passée en phase épidémie et 8 régions sont désormais en phase pré-épidémique. En outre-mer, Mayotte est en toujours phase épidémique et la Guyane en pré-épidémique.

Dans ce contexte et à l’approche des fêtes de fin d’année, il est important de se faire vacciner, soit pour se protéger parce qu’on est une personne à risque de grippe sévère ; soit pour protéger ses proches fragiles ou à risque. En effet, pendant cette période, la multiplication des contacts favorise la transmission des virus. Les personnes à risque de faire une forme grave de la grippe sont notamment les personnes âgées de 65 ans et plus, les moins de 65 ans atteintes de certaines maladies chroniques (dont les enfants à partir de 6 mois) et les femmes enceintes. La liste complète des personnes ciblées par la vaccination contre la grippe peut être consultée dans le calendrier des vaccinations (PDF).

Il reste essentiel d’adopter les gestes barrières pour tous, notamment de porter le masque en cas de symptômes, dans les lieux fréquentés et en présence de personnes fragiles. Ils sont un moyen efficace pour se prémunir des infections respiratoires et de leurs complications, en limitant le risque de transmission.

Il est recommandé que les personnes fragiles réalisent en même temps leur vaccination contre le Covid-19. Il n’y a pas de délai particulier à respecter entre les 2 vaccinations si celles-ci ne peuvent pas être réalisées au même moment.

La vaccination contre la grippe en pratique.

En savoir plus sur les gestes barrières.

Participez à une grande enquête sur la dépression pour faire avancer la recherche

Créé par le 25 nov 2023 | Dans : Santé

La dépression peut générer des symptômes différents d’une personne à une autre, mais qui s’inscrivent dans la durée : tristesse, irritabilité, souffrance psychique, fatigue, idées noires, perte de motivation, perte du plaisir, ralentissement, insomnie. Elle touche 1 personne sur 5 au cours de sa vie et représente la 5e cause de handicap dans le monde. Bien que fréquente et souvent impactante, la dépression reste peu connue scientifiquement.

ComPaRe Dépression est la première e-cohorte francophone incluant toutes les personnes ayant vécu ou vivant une dépression, que ce soit dans le cadre d’un épisode unique, d’épisodes récurrents, d’un trouble bipolaire, ou d’un contexte périnatal.

Les objectifs de ComPaRe Dépression sont de :

- Mieux comprendre la dépression grâce à une communauté inclusive de personnes concernées qui témoignent de leur expérience et de leur vécu ;

- Avoir une vision à 360° de la dépression grâce à la collecte de données de santé, démographiques, sociologiques, psychologiques, culturelles (auto-clinique, style cognitif, réseau social, mode de vie, stigmatisation, etc).

- Structurer une communauté de recherche participative où les personnes concernées puissent participer à la production des connaissances à divers niveaux d’engagement ;

- Encourager les collaborations multi- et pluridisciplinaires pour explorer les frontières des connaissances.

- A terme, générer des interventions visant à améliorer la santé et la qualité de vie des personnes concernées.

▶︎ Pour faire avancer la recherche et participer à la cohorte (si vous souffrez de dépression ou si vous avez connu un état dépressif au cours de votre vie) : le lien vers la plateforme de contribution ComPaRe Dépression.

Dépression

Angine due à un virus ou à une bactérie ? Le test est possible en pharmacie.

Créé par le 09 nov 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Santé

Chaque année en France, environ 9 millions d’angines sont diagnostiquées.

Il existe 2 catégories d’angines : les angines d’origine virale, dues à un virus, et les angines bactériennes, dues à une bactérie. Les angines d’origine virale sont de loin les plus fréquentes : elles représentent plus des trois quarts des cas chez l’adulte. Lorsque l’angine est d’origine virale, les antibiotiques sont inutiles. À l’inverse, l’angine causée par une bactérie comme le

du groupe A nécessite un traitement antibiotique.

Le test rapide d’orientation diagnostique de l’angine (Trod angine) permet de savoir si l’angine est une angine bactérienne à

du groupe A. Il peut être réalisé par un médecin ou un pharmacien.

En officine, le pharmacien peut réaliser ce test directement chez les enfants à partir de 10 ans et chez les adultes lorsque les symptômes présentés par la personne justifient de réaliser le test. En cas de résultat positif du test, le pharmacien oriente le patient vers son médecin. Si la personne a déjà consulté son médecin et que celui-ci n’a pas pu réaliser de Trod angine lors de la consultation, il peut remettre à son patient une ordonnance « conditionnelle » qui lui permettra, en cas de de test positif réalisé à la pharmacie, la délivrance d’un traitement antibiotique.

En pharmacie, la réalisation du test (entre 6 et 7 €) est prise en charge par l’Assurance Maladie à 70 % et les 30% restant sont couverts par votre complémentaire santé (mutuelle, assurance…).

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