Santé
Articles archivés
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Créé par torderes le 27 sept 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Santé
Si vous avez eu la Covid-19 et souffrez actuellement de symptômes persistants que vous attribuez à cette maladie (ces symptômes sont parfois appelés « Covid long »), vous pouvez participer à une étude mise en place par l’Inserm, Sorbonne Université et Santé publique France.
L’objectif de cette étude est de décrire la présentation clinique du Covid long et de mesurer son impact sur la qualité de vie ainsi que son retentissement psychologique, professionnel et familial. Votre participation consiste à remplir un questionnaire en ligne au début de l’étude sur votre état de santé, puis un tous les trois mois pendant un an (soit 5 questionnaires au total).
Pour en savoir plus sur cette étude, vous pouvez télécharger la notice d’information.
Pour participer, merci de cliquer sur le lien suivant pour accéder à la plateforme informatique de l’étude, vérifier que vous remplissez les critères d’inclusion et vous inscrire :
Lien pour participer à l’étude
Si vous connaissez une personne de 18 ans ou plus qui a eu la Covid-19 et souffre actuellement de symptômes persistants attribués à cette maladie, vous pouvez lui transmettre ce message pour lui proposer de participer.
N’hésitez pas à transmettre vos remarques à l’adresse suivante : contact@covidnet.fr.
Créé par torderes le 25 sept 2023 | Dans : Santé
Le Centre de Santé initié par la Commune de Fourques et la Région Occitanie ouvrira le 2 octobre. Il regroupera quatre médecins salariés exerçant 30 à 35h par semaine, qui devraient être rejoints par un cinquième médecin dans le courant de l’année 2024.
Dans un premier temps, la prise en charge de patients n’ayant pas de médecin traitant sera privilégiée.
Pour tout renseignement, contacter la mairie de Fourques au 04 68 38 80 41.
Créé par torderes le 20 sept 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
Créé par torderes le 19 août 2023 | Dans : A retenir, Environnement, Infos pratiques, Santé
Les fortes températures vont se maintenir jusqu’en milieu de semaine prochaine, avec un pic se produisant entre lundi et mercredi selon les régions.
À échelle du pays, cet épisode s’annonce comme le plus chaud de l’été 2023, également comme l’un des plus tardifs avec un tel niveau d’intensité.
Soyez vigilants.
Créé par torderes le 13 août 2023 | Dans : A retenir, Environnement, Infos pratiques, Santé
Créé par torderes le 31 juil 2023 | Dans : A retenir, Affaires sociales, Infos pratiques, Santé
Changer de regard sur le rôle de l’aidant, valoriser cette période en prenant soin de soi aussi, pour mieux accompagner l’être cher, prévenir le risque d’épuisement, avoir des outils pour faciliter le quotidien… Voici ce que propose l’association « Equilibre 66″.
A partir du mercredi 13 septembre, l’association propose une marche hebdomadaire le long de Las Canals (derrière Auchan).
Rendez-vous à 9h, devant la maison « Entre Parenthèses », 9 rue de Minorque, Quartier Catalunya.
Inscription pas SMS ou message vocal à Julie Serra, au 06 19 98 33 68.
Créé par torderes le 28 juil 2023 | Dans : A retenir, Infos pratiques, Santé
Si les punaises de lit avaient disparu dans les années 50 en France, la recrudescence de ces insectes sur le territoire national est une réalité.
En cause : les voyages internationaux et le développement des résistances aux insecticides. Les punaises de lit sont des insectes parasites qui vivent à l’abri de la lumière, dans les espaces sombres. Les chambres à coucher et les salons avec canapé sont principalement touchés. En cas d’infestation d’un logement, il est nécessaire de procéder à des mesures strictes pour limiter leur prolifération jusqu’à l’élimination. On peut tous être touchés par des punaises de lit. Découvrez les moyens de réduire les risques d’infestation, d’identifier la présence de punaises et de vous en débarrasser au plus vite.
Les punaises de lit sont visibles à l’œil nu (dimensions d’un pépin de pomme) et sont généralement brunes. Elles ne sautent pas et ne volent pas. Les punaises de lit se nourrissent de sang et peuvent survivre plusieurs mois sans se nourrir. Elles peuvent piquer jusqu’à 90 fois en une seule nuit, provoquant des démangeaisons parfois insupportables. Leur développement est rapide et il est donc important d’intervenir au plus vite en cas d’apparition, afin d’éviter au maximum l’étendue de l’infestation.
Chez soi :
Des concentrations de leurs déjections – des petits points noirs – peuvent être observées sur les matelas, lattes ou fentes du sommier, bois du lit, plinthes, angles des murs… Les punaises de lit vivent principalement dans la chambre à coucher. Elles fuient la lumière et s’abritent dans des endroits sombres, étroits et peu accessibles.
Sur sa peau :
Les piqûres ressemblent à des piqûres de moustique et surviennent surtout la nuit, quand les punaises de lit sont actives. Ces piqûres peuvent se regrouper par 3 ou 4 sur la peau, parfois en ligne, et sont généralement situées sur les parties découvertes du corps (visage, mains, bras, jambes). Elles ne transmettent pas de maladie mais peuvent causer des démangeaisons importantes voire des réactions allergiques (urticaire).
Les punaises de lit n’aiment ni les hautes températures, ni les basses.
Chez soi :
A l’hôtel :
Au retour d’un voyage :
Plus l’infestation est importante, plus les punaises de lit se déplacent dans les autres pièces du logement ou de la résidence et dans d’autres logements. Elles peuvent s’introduire partout, même dans les maisons et les hôtels les plus propres. La mobilité (déplacements et voyages) et les activités humaines caractérisées par une forte concentration de personnes immobiles ou au repos (établissements d’enseignement, particulièrement crèches et écoles maternelles, salles de spectacles, cinémas, moyens de transport collectifs) sont propices à la transmission et la dissémination des punaises de lit.
La lutte mécanique (aspiration, chaud, froid, lavage) : une étape indispensable
La lutte chimique (insecticides) : une étape à réserver aux professionnels en cas de persistance
Les punaises de lit ont développé des résistances à la quasi-totalité des insecticides en vente libre. Ces derniers peuvent par ailleurs présenter des risques importants vis-à-vis de l’environnement et de la santé humaine lorsqu’ils sont utilisés sans précaution. Ceci concerne à plus forte raison les insecticides plus puissants dont la vente est réglementée, qui ne peuvent être manipulés que par des techniciens dûment formés (certificat Certibiocide contrôlé par le ministère de la Transition écologique).
En cas de persistance de l’infestation, il est ainsi recommandé de :
Créé par torderes le 22 juil 2023 | Dans : Santé
Alcool Info Service communique :
L’alcool a des effets immédiats, essentiellement sur le cerveau, qui se manifestent quelques minutes après la consommation et qui peuvent durer plusieurs heures. Durant toute cette période, le fonctionnement du cerveau et le comportement sont perturbés, entraînant des risques spécifiques.
Les effets de l’ivresse
L’ivresse altère les facultés et le comportement du buveur. Très rapidement, il n’est plus en état de conduire. S’il continue à boire, son humeur devient instable et il est plus susceptible d’agressivité. Une ivresse importante favorise la prise de risques sans que le buveur n’en mesure réellement la portée. Enfin, une forte alcoolisation induit un état d’apathie et de somnolence, augmentant la vulnérabilité à l’environnement et diminuant les capacités à se défendre ou à réagir en cas de problème.
La « gueule de bois » et le trou noir
L’abus d’alcool peut aussi avoir des répercussions le lendemain. Le phénomène le plus connu est celui de la « gueule de bois » : maux de tête, fatigue et déshydratation en sont les principaux symptômes. Un autre phénomène bien connu est celui du « trou noir » : le buveur peut avoir oublié ce qui s’est passé la veille parce qu’il n’était plus en capacité de l’enregistrer et de le mémoriser.
Les risques de coma éthylique
Le coma éthylique est une évolution sévère de l’alcoolisation. Le buveur tombe dans un sommeil profond, ne répond que très difficilement aux stimuli. Sa température corporelle a diminué, il a la peau moite et n’a plus de tonus musculaire. Incapable de se réveiller et de déglutir, il court un risque de s’étouffer dans ses vomissements.
À un stade ultime d’anesthésie et de profonde inconscience, la personne en coma éthylique peut cesser de respirer et mourir. Un coma éthylique est une situation d’urgence qui nécessite l’intervention des secours.
Les dangers du « binge drinking »
Boire beaucoup d’alcool lorsqu’on fait la fête n’est pas nouveau. Par contre, Le « binge drinking » ou « biture expresse » ou encore « beuverie express » est un phénomène relativement récent. Il consiste à chercher à boire le plus possible d’alcool en un minimum de temps. Le but recherché est donc « l’ivresse pour l’ivresse ». En un court laps de temps, l’ivresse devient maximale et les pertes de contrôle de soi et de conscience ne sont pas rares.
Cet usage de l’alcool est particulièrement dangereux à court terme pour la santé des jeunes, qui se retrouvent de plus en plus souvent aux urgences. Mais il a aussi un impact à long terme sur le développement de leur cerveau et leurs capacités d’apprentissage.
Pour en savoir plus, consulter la vidéo de l’Inserm « Binge drinking : quand le cerveau trinque ».
Les dangers de l’alcool au volant
Même si la personne ne s’en rend pas compte, les effets de l’alcool commencent à apparaître dès le premier verre. L’alcool augmente le temps de réaction. Il diminue les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue. Il perturbe également la vision, l’estimation des distances et la coordination des mouvements. De plus, son effet désinhibant amène à sous-évaluer le danger et ainsi à prendre des risques : « oubli » de boucler sa ceinture ou de porter un casque, vitesse excessive, etc.
Le risque d’être responsable d’un accident mortel est multiplié par 8 en cas de consommation d’alcool. Ce risque augmente très rapidement en fonction du taux d’alcool dans le sang : il est multiplié par 6 pour un taux compris entre 0,5 et 0,8 g/l, et par 40 pour un taux supérieur à 2 g/l. Pour en savoir plus sur ce que dit la loi au sujet de l’alcool au volant.
Alcool et violence
De par son action sur le fonctionnement du cerveau, l’alcool peut modifier les réactions face à une situation donnée : la personne va se focaliser sur l’irritation qu’elle ressent au moment présent et elle pensera moins aux conséquences futures de ses actes. Elle aura donc tendance à « perdre son sang-froid » plus rapidement, à réagir de façon plus extrême ou plus agressive, en comparaison de ce qu’elle aurait fait si elle n’avait pas consommé d’alcool.
C’est en partie la raison pour laquelle de nombreuses agressions (injures, coups, agressions sexuelles et homicides) sont commises sous l’effet de l’alcool.
De plus, lorsqu’une personne a bu, elle est moins en capacité de se défendre et devient donc plus vulnérable aux agressions.
L’impact de l’alcool sur la sexualité
Bien que l’alcool désinhibe et puisse aider à se sentir plus à l’aise, il peut également perturber l’érection chez l’homme et diminuer le plaisir chez la femme.
L’alcool affecte le libre-arbitre et la capacité à maîtriser la situation. Le risque est d’avoir une relation sexuelle non souhaitée ou d’oublier d’utiliser un préservatif, exposant à un risque de grossesse non désirée ou de contamination par le virus du sida ou toute autre infection sexuellement transmissible.
La gravité d’un abus d’alcool s’évalue aussi au regard de la fréquence à laquelle il arrive. Il n’a pas le même impact sur la santé et n’a pas le même sens s’il est très occasionnel ou s’il arrive plusieurs fois par mois. Dans ce dernier cas, le passage vers une consommation régulière et excessive est possible et le risque d’alcoolo-dépendance accru.
Créé par torderes le 17 juil 2023 | Dans : Santé
Santé Publique France prévoit un pic des contaminations d’infection à entérovirus ces prochaines semaines. Les nouveau-nés sont les plus à risque de développer des symptômes sévères (neurologiques, respiratoires, cardiaques ou digestifs) en cas d’infection à entérovirus.
Pour rappel, les entérovirus (EV) forment un groupe de virus qui sévit en France en juin et juillet, puis à l’automne. À l’origine de maladies infectieuses, le plus souvent bénignes, celles-ci peuvent être beaucoup plus graves chez les nouveau-nés, exposés au virus lors de l’accouchement ou par contact étroit avec une personne infectée.
Depuis 2020 et la mise en place des mesures barrières, les infections à entérovirus se maintenaient à des niveaux très bas. Elles sont reparties à la hausse en 2022 avec 25,7 % des infections à EV contre 12,8 % sur la période 2016-2021. En cause : un grand nombre d’enfants plus réceptifs aux infections à EV après la crise du Covid.
Si les chiffres pour 2023 restent inférieurs au niveau d’avant 2020, Santé Publique France pointe une recrudescence des infections entre le 26 juin et le 2 juillet. Le nombre de passages aux urgences et d’hospitalisations pour méningite virale observé dans le réseau OSCOUR apparaît en effet en augmentation depuis la semaine S23 et atteint depuis des niveaux comparables à ceux de 2018, ce qui pourrait indiquer un pic estival attendu dans les prochaines semaines. L’autorité sanitaire attire notamment l’attention sur les cas de méningites virales chez les tout-petits et appelle les professionnels de santé à la plus grande vigilance.
Fatal dans la majorité des cas, l’échovirus-11, un nouveau virus de la famille des entérovirus observé pour la première fois en France en juin 2022, inquiète tout particulièrement. Entre juillet 2022 et mars 2023, 9 nouveau-nés de moins de 7 jours (dont 4 paires de jumeaux) ont été infectés par cet E11, parmi lesquels sept sont décédés.
Depuis l’alerte française en mai 2023, d’autres cas ont été observés en Europe. Un nouveau cas a été déclaré en juillet en France, ce qui indique que le virus circule toujours.
Les bébés nés prématurés, un petit poids à la naissance et une infection avant les sept premiers jours de vie seraient des facteurs de risque de mortalité. De même que les caractéristiques de ce nouveau variant, toujours à l’étude.
Santé Publique France incite à renforcer les règles d’hygiène en famille et en collectivité afin de limiter la transmission de ces virus aux personnes fragiles, immunodéprimées et aux femmes enceintes. Les traitements sont uniquement symptomatiques et la prise d’antibiotiques est inutile en cas d’infection.
Créé par torderes le 12 juil 2023 | Dans : Santé
Tout au long de l’année, et particulièrement en période estivale, il est important de ne pas surcharger les urgences, qui peuvent ainsi rester disponibles pour accueillir les cas les plus graves. C’est pourquoi le ministère de la Santé et de la prévention rappelle qu’avant de se déplacer dans un service d’urgences, appeler le 15 « est le bon réflexe » lorsqu’on n’a pas trouvé de solution pour un problème de santé qui nécessite rapidement un avis médical.
Hormis dans les situations d’urgence vitale, il est conseillé, avant de se rendre aux urgences, de vérifier qu’il n’existe pas d’alternative :
À noter : dans certaines situations, il est inutile d’aller aux urgences. C’est le cas pour :